TAM-TAM : Communicante au salon de l’agriculture

TAM-TAM : Communicante au salon de l’agriculture

Home 5 Author archive for Manon CANIOU

Nous serons là, pour porter les messages du monde agricole, au SIA

 

Communicante au SIA

© SIA 2024 – P.Parchet

C’est à ce moment que Communicante prend toute sa dimension !

Pendant ces quelques semaines qui précèdent le Salon de l’agriculture, puis pendant toute la durée du 1er salon de France, notre équipe est mobilisée pour faire le lien entre le monde agricole et son public.

Le sens de notre action a toujours été de faire découvrir le meilleur de l’agriculture, mais aussi d’accompagner son évolution, au service des citoyens-consommateurs et de tous les enjeux énergétiques, climatiques, alimentaires et économiques que notre société doit traverser. Notre mission prend encore plus de sens cette année, lors de cette édition où le monde agricole porte plus que jamais l’envie de changer.

Nous serons là, pour porter, avec les 8 clients que nous accompagnons dans leur prise de parole au SIA, les sujets gestion de l’eau, agronomie et connaissance du sol, gestion des ressources forestières, AgTech, intelligence artificielle, filière laitière, responsabilité sociétale, nouveaux modèles économiques, circularité, recyclage des déchets d’agrofourniture, incubation et leadership entrepreneurial mais aussi dynamique territoriale, sauvegarde de races locales et savoir-faire fromager !

Au plaisir de vous y retrouver !

Véronique, Caroline, Joëlle, Cécile, Manon, Charlotte, Victor, Léa, Zoé, Antoine, Anita

On frissonne pour : ces artistes-influenceurs engagés sur Instagram

On frissonne pour : ces artistes-influenceurs engagés sur Instagram

Home 5 Author archive for Manon CANIOU

TOP 8 des artistes-influenceurs engagés en faveur de la transition écologique sur Instagram. 

Stravito Vibrations communicantes

© Unsplash

Des influenceurs soucieux de la planète, ça existe ? Oui et aujourd’hui, on vous embarque sur Instagram dans le monde créatif et engagé de 8 artistes Français et internationaux qui mettent leur talent au service de la transition écologique. Des démarches originales, pleines de sens et sources d’émerveillement pour éveiller les consciences. A vos comptes, prêts, agissez !

1. @monsieur_plant : Le magicien du Green

Monsieur Plant, c’est un peu le David Copperfield du végétal. Il transforme les plantes en œuvres d’art captivantes. Sculptures végétales, fresques botaniques, suivez-le pour une dose quotidienne de vert dans votre flux Instagram !

 

2. @saype_artiste : des œuvres pour impacter les mentalités, sans impacter la nature

Saype, c’est l’artiste qui fait du sol ses toiles. Il nous rappelle que l’art peut être éphémère, tout comme la nature. Des œuvres monumentales qui donnent envie de prendre soin de notre belle planète mais aussi de ses habitants.

3. @jennykendler : Percutante et rebelle

Jenny Kendler milite et choque au travers de ses réalisations. Avec son œuvre « se prélasser face à l’inondation », elle dénonce l’inaction. Une artiste qui crie haut et fort pour mettre le monde en transition.

4. @marcos____acosta : Ceci n’est pas une photo mais bien une peinture !

Les canyons spectaculaires de Marcos et les sommets de montagnes déchiquetés sont interrompus par des lignes abstraites qui annoncent l’impact de notre arrivée dans ces espaces. Bien que nous fassions partie de la nature nous-mêmes, ces formes linéaires redonnent une dose d’humilité à l’homme.

5. @vonwong : Le photographe du changement climatique

Benjamin Von Wong est un talentueux photographe qui attire l’attention sur les enjeux du changement climatique. Des images percutantes qui font réfléchir et agir. Suivez-le pour un voyage visuel au cœur des défis environnementaux.

6. @michaelbeerens : le monde sous-marin et le graffiti

Si vous êtes passionné par l’océan, suivez de ce pas Michael Beerens. Cet artiste engagé reconnecte l’urbain à la mer. Personnalité au contact du public, il s’investit également auprès des écoles pour proposer des ateliers mêlant art et sensibilisation à l’écologie marine.

7. @fabiopetani : le graffiti avec un style écolo

Fabio Petani, street artist italien, redéfinit le graffiti. Ses fresques aux couleurs éclatantes portent des messages sur la biodiversité et l’urgence écologique. Suivez-le pour un street art au format XXL qui a du sens !

8. @damienjalet : un pas de côté

Damien Jalet, c’est le danseur qui a fait de la transition écologique son pas de danse préféré. Avec ses performances chorégraphiques saisissantes, il illustre les enjeux de notre planète de manière profonde et poétique. Un compte à suivre pour des ballets envoutants et des instants suspendus « hors du temps ».

Peindre, dessiner, sculpter, photographier, danser… ces artistes ont un point commun : délivrer un message fort autour de la prise de conscience environnementale en faisant connaître leur démarche au plus grand nombre. 

Allez liker et partager ces profils ! 🌍🎨

Ça bouillonne : Agitons nos neurones avec un philosophe et une historienne de l’art

Ça bouillonne : Agitons nos neurones avec un philosophe et une historienne de l’art

Home 5 Author archive for Manon CANIOU

Art, émerveillement et transition écologique

Nouvelles méthodes d'écoute Vibrations communicantes

Orchidées et oiseau-mouche, huile sur toile, Martin Johnson Heade

© Museum of Fine Arts, Boston. All Rights Reserved.

L’art et l’émerveillement participent-ils au processus de transition écologique ? Pour répondre à cette question, j’ai eu envie d’écouter des voix inspirantes qui m’ont fait vibrer au fil de leurs écrits. Charles Pépin avec son livre « Quand la beauté nous sauve » nous fait (re)découvrir les bienfaits de la beauté. Estelle Zhong Mengual dans son ouvrage « Apprendre à voir » nous exhorte à aller au-delà du « voir » pour ne pas limiter notre environnement à un simple décor de vie.

Quand la beauté nous sauve… voilà un titre bien mystérieux. Nous sauve de quoi ? En réalité, il s’agit là d’une réflexion philosophique sur l’émotion esthétique. Charles Pépin nous explique en quoi la beauté nous fait du bien. Pour le philosophe, la beauté est tout sauf superficielle. Vous vous arrêtez comblé devant un champ de blé éclairé par les derniers rayons de soleil d’une fin de journée ? Vous frissonnez devant ce tableau de Van Gogh ? Pas besoin de critères pour se justifier. Votre émotion suffit à votre jugement. Chaque fois que la beauté nous touche, elle nous réapprend à nous faire confiance. Et plus encore : apprécier la beauté nous conduit à sortir de notre individualisme, à nous ouvrir au monde et « apprécier » ce qui n’est pas soi. Le philosophe nous invite également à accueillir le mystère du beau : être émerveillé, c’est accepter de ne pas chercher à vouloir tout expliquer. Alors, porter un regard ébloui sur l’existence et le savourer tel quel, n’est-ce pas déjà un premier pas vers une prise de conscience écologique ? En affirmant cela, je vais au-delà des propos de Charles Pépin. Mais même si je le ressens profondément, je dois bien reconnaitre que c’est loin d’être suffisant pour conduire à une réelle transition écologique.

Alors, poursuivons notre exploration en allant voir ce que dit une historienne de l’art. Estelle Zhong Mengual dans son livre « Apprendre à voir » cherche à nous ouvrir les yeux sur un monde, le monde des vivants, pour lequel nous sommes aveugles nous dit-elle. L’histoire de notre civilisation a placé l’homme supérieur à la nature, et l’histoire de l’art n’a pas échappé à cette conception. En effet, dans de très nombreuses œuvres, la nature est bien souvent traitée en allégorie du monde divin ou en simple décor servant à mettre en valeur autre chose. Un modèle qui a fortement contribué à nous mettre à distance de notre environnement. Estelle Zhong Mengual, dans une approche mêlant art et sciences, s’appuie sur les travaux de femmes naturalistes du 19è siècle et de différents peintres pour montrer qu’ils ont réussi à « saisir le vivant dans son abondance de signes et de sens. » Entendez par là les relations d’interdépendances entre êtres vivants. Prenez par exemple ce tableau de Martin Johnson Heade, les orchidées et l’oiseau mouche. Les fleurs et l’oiseau ne sont pas des éléments de décor, mais bel et bien acteurs d’une relation en train de se jouer entre eux trois. Et derrière chaque détail peut se cacher un sens caché. Apprendre à voir, nous dit l’historienne de l’art ce serait faire alliance avec le monde vivant que notre histoire nous a amené à délaisser, apprendre à voir le sens et les interactions entre tous les vivants, et pas seulement entre nous les humains.

En conclusion de ces pérégrinations littéraires il me faut désormais répondre à cette question : l’art et l’émerveillement participent-ils à la transition écologique ? N’avons-nous pas besoin pour cela des ondes positives de Charles Pépin ? Car selon moi, aller vers une transition écologique c’est sans nul doute développer une forme d’empathie et d’ouverture vers le monde que l’émerveillement devant la beauté nous rend capable d’avoir. Et désormais, en harmonie avec Estelle Zhong Mengual, je regarde les tableaux différemment : je songe aux interactions entre êtres vivants, visibles et invisibles, consciente que, nous les humains, ne sommes que des vivants parmi tous les êtres vivants, tous liés et interdépendants.

Tam-Tam : “Designer” la forme d’un aliment

Tam-Tam : “Designer” la forme d’un aliment

Home 5 Author archive for Manon CANIOU

L’influence de la forme sur l’imaginaire et l’usage projeté d’un produit alimentaire : un atelier proposé par Papillote

 

Stravito Vibrations communicantes

© Brands People – Unsplash

Dans le cadre d’un événement Valorial intitulé “Les 5 sens comme leviers d’innovation pour l’expérience alimentaire”, Papillote a proposé un focus sur l’importance de la forme d’un aliment dans son expérience de dégustation.

Dans le monde du design alimentaire, chaque courbe, chaque contour d’un produit est une invitation à une expérience sensorielle minutieusement orchestrée. Comme le rappelle l’adage « Form follows function », la forme d’un objet ne doit pas simplement plaire à l’œil, elle doit être le reflet de sa fonction. Ou plutôt, elle doit induire sa fonction. Cette relation d’interdépendance, souvent évoquée dans le design industriel, trouve aussi son expression dans l’univers culinaire.

Pour illustrer ce principe, on peut citer la baguette qui, par rapport à la miche de pain, permet une cuisson plus rapide et une découpe plus simple en tronçons à partager. Cette baguette a même évolué jusque dans sa version “épi” dont les portions sont détachables encore plus facilement à la main. Le rêve pour les fans de quignons qui entament toujours la baguette en sortant de la boulangerie !

L’objectif de cet atelier était donc d’explorer la manière dont la forme d’un produit alimentaire peut devenir un vecteur narratif puissant, quand elle est choisie avec cohérence. Pour ce faire, les participants sont devenus eux-mêmes créateurs en façonnant une forme de pain, tout en projetant la manière dont il serait dégusté spontanément. Lors du tour d’horizon des créations, le groupe a été invité à deviner l’usage et le contexte de consommation de chaque création. Une expérience interactive qui a souligné l’importance de l’impact spontané de la forme sur la perception du produit.

Au cœur de cet après-midi d’ateliers, une conclusion a émergé : nos sens ont cette place prépondérante car ils guident l’expérience de dégustation, influencent la gestuelle et provoquent des émotions, créant ainsi des connexions mémorables entre le mangeur et le produit.

Retour en images sur les temps forts de l’atelier :

On frissonne pour : notre sélection de livres jeunesse sur la transition écologique

On frissonne pour : notre sélection de livres jeunesse sur la transition écologique

Home 5 Author archive for Manon CANIOU

Quand la littérature sensibilise les plus jeunes à l’environnement.

 

Stravito Vibrations communicantes

Notre sélection de livres jeunesse sur la transition écologique.

© Communicante

Comment divertir et éveiller les consciences des plus jeunes sur les sujets de la transition écologique ? L’agence Communicante a sélectionné plusieurs ouvrages « plaisir de lire » à dévorer sans attendre !

« Pixi le robot » de Agnès Sodki et Emmanuelle Moreau – le conte qui sensibilise les plus petits au respect du vivant

« Pixi le robot » de Agnès Sodki et Emmanuelle Moreau est une histoire qui nous rappelle avec douceur que la faune et la flore s’épanouissent pleinement dans leur habitat naturel. Ce conte sensibilise les enfants à partir de 2 ans au respect du vivant.

Le petit plus de ce livre, c’est la partie pédagogique en fin d’ouvrage qui explique le cycle des plantes et les éléments nécessaires pour qu’elles vivent. C’est une façon intelligente d’encourager la curiosité et d’inviter les enfants à aimer et respecter la nature qui les entoure.

« La bonne idée de monsieur Johnson » de Pierre Grosz et Rémi Saillard – l’histoire qui fait réfléchir les enfants à leur impact sur l’environnement

« La bonne idée de monsieur Johnson » de Pierre Grosz et Rémi Saillard est une belle histoire, d’autant plus qu’elle est inspirée de faits réels. Destinée aux enfants à partir de 5 ans, l’histoire met en avant un message écologique en montrant comment un petit geste, répété régulièrement, peut avoir un impact considérable.

C’est une leçon précieuse qui encourage les jeunes lecteurs à prendre conscience de leur pouvoir individuel sur l’environnement. Elle illustre le fait que chacun, à son niveau, peut contribuer à préserver la planète, et que l’union de petits gestes individuels peut se transformer en une action collective significative.

Cet ouvrage pousse à l’action : parfois il suffit juste d’essayer…

« Changer d’ère » de Augel Alep – découverte de la transition écologique sur le ton de l’humour

La bande dessinée « Changer d’ère » d’Augel Alep est une invitation joyeuse à la découverte de la transition écologique.

Spécialement conçue pour les jeunes lecteurs dès 8 ans, cette BD utilise l’humour pour toucher les esprits en herbe.

Ce qu’on aime dans cette BD, c’est l’humour qui sert de fil conducteur au récit, établissant ainsi un pont entre le rire et la prise de conscience.

« Changer d’ère » parvient à transformer des sujets sérieux en une aventure amusante et enrichissante. Les émotions ressenties à la lecture, créent un lien avec les enjeux écologiques, faisant de cette BD une expérience sensorielle et émotionnelle qui éveille la conscience des jeunes lecteurs.

La série « Polard Vert » de Thierry Colombié – des enquêtes policières éco-engagés

Avec la série « Polard vert » de Thierry Colombié, nous embarquons au cœur d’enquêtes policières éco-engagées. Cette série est spécialement pensée pour les adolescents en quête d’aventures riches en émotions.

Ce qu’on aime dans cette collection, c’est son format polar qui nous plonge au cœur de l’enquête, avec tout le suspense qui l’accompagne.

L’histoire nous permet d’explorer et de comprendre des sujets d’actualité liés à l’environnement tel que l’éco-anxiété, la pollution, la biodiversité et les défis climatiques, le tout enveloppé dans une intrigue palpitante.

Nous félicitons l’auteur qui parvient à sensibiliser le jeune public dès l’âge de 13 ans en mêlant habilement enquêtes et préoccupations écologiques contemporaines.