On frissonne pour : les résultats de l’Observatoire des métiers de la communication en agriculture du SYRPA

On frissonne pour : les résultats de l’Observatoire des métiers de la communication en agriculture du SYRPA

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IA générative et communication agricole : la rencontre est-elle possible ?

Stravito Vibrations communicantes

©agence Communicante

Vibrations communicantes dévoile en avant-première les chiffres clés de l’Observatoire des métiers de la communication en agriculture du SYRPA, qui sera présenté lors de la Journée de la Communication Agricole le 26 juin prochain. Cette édition 2025 met l’accent sur la perception des communicants du secteur agricole sur l’utilisation de l’IA et son impact sur leurs pratiques professionnelles. 3 grands constats se dégagent :

 

1. La connaissance de l’IA est encore floue. En effet, plus de la moitié des communicants de l’agriculture (52%) estiment avoir un niveau de connaissance « moyen » de l’IA, tandis que seulement 3% estiment avoir un « bon » niveau de connaissance de l’IA.

 

2. L’IA est utile mais seulement sur les tâches techniques. Les communicants du secteur considèrent en majorité que l’IA est très utile pour la production de contenu (58%), l’optimisation SEO (47%) et la création graphique et visuelle (24%). A l’inverse, ils jugent l’IA peu utile pour des fonctions stratégiques telles que la gestion de crise, la stratégie de communication ou encore la montée en compétences.

3. Des inquiétudes très ancrées dans les réalités métier. Sans surprise, les principales craintes concernent l’atteinte aux droits d’auteur (58%), la confidentialité des données / RGPD (56%), mais aussi des problèmes éthiques (49%) et le risque d’uniformisation des contenus (49%). En revanche, semblent moins présentes les préoccupations environnementales, et l’inquiétude sur la disparition de certains métiers.

 

« L’IA va transformer en profondeur les métiers de la communication, même si le secteur n’est pas encore prêt. C’est précisément l’objectif de la Journée de la Communication Agricole : comprendre et anticiper au mieux cette révolution déjà bien engagée. » explique Pierre Marin, Directeur Général du cabinet IDDEM, qui a réalisé l’étude.

 

 

En résonnance avec : César Doye, co-fondateur de L’Agence des agences

En résonnance avec : César Doye, co-fondateur de L’Agence des agences

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César Doye, co-fondateur de L’Agence des agences

Christian Clot, explorateur

César Doye, co-fondateur de l’Agence des agences, nous aide à prendre de la hauteur sur notre rapport à l’IA générative. Il nous éclaire sur les impacts pour le secteur de la communication et sur la notion même de valeur de nos métiers.

IA générative : utile ? dangereuse ?

En tant que communicant, il est urgent de se saisir de cette révolution technologique et de l’intégrer dans nos manières de faire, dans notre quotidien. Se former continuellement est donc indispensable. Une sélection naturelle va s’opérer à court terme entre ceux qui le font et ceux qui ne le font pas.

Certaines agences saisissent l’opportunité de l’IA pour produire encore plus pour moins cher : cette une approche ne permettra pas de recréer de la valeur aux prestations. Et c’est, à mon sens, l’écueil dans lequel il ne faut pas tomber.

Comment l’IA modifie notre rapport à la communication, à nos métiers ?

Cette évolution met l’emphase sur notre rapport au temps, à la valeur de notre travail. Nous devons dépasser le débat de l’IA sous l’angle de l’adaptation technologique et se saisir de cette opportunité pour redonner de la valeur à nos métiers !

L’enjeu est certes de s’adapter mais surtout de voir comment valoriser différemment notre travail en sortant de la logique de facturation au temps passé et de la culture des livrables.

On n’a jamais su dire combien coûte une idée. L’IA doit permettre de se dégager de ce paradigme pour rentrer dans une nouvelle posture : retrouver ce qui permettait aux agences d’être de véritables partenaires de leurs clients en reprenant la main sur des discussions liées au business.

Les agences doivent proposer des solutions et non des prestations. Il est temps de revoir les modèles et la façon dont les agences structurent et vendent leurs offres. Quelle valeur créons-nous pour nos clients ? Pas uniquement un site internet mais un parcours client qui génère des ventes, pas seulement un dispositif de communication locale mais une campagne qui crée du trafic en magasin, pas juste une plateforme digitale mais une solution capable de générer des leads.

Comment cela est-il perçu par les annonceurs et par les agences ? Comment cela a-t-il évolué depuis ces dernières années ?

Aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, les agences ont compris que la culture du temps passé est révolue. Nous avons au moins 5 ans de retard en France sur cette approche. Au lieu d’embrasser cette nouvelle technologie et de se questionner, nous restons encore très réfractaires. Sans doute notre côté gaulois qui ressort !

Nous sommes sans aucun doute le seul secteur où c’est le client qui décide de la façon dont nous devons construire nos prix, sur du temps passé et donc des coûts. Je pense qu’ils sont prêts à discuter du prix de nos prestations : quand Nike vend une paire de chaussures, ils fixent leur prix à partir de la valeur perçue et personne ne vient leur demander de détailler le coût de production. Je ne vois pas pourquoi ce serait différent pour les agences. Le rôle et la responsabilité des agences est d’interroger leurs clients et d’expliquer en quoi le système de construction de prix actuel ne fonctionne plus. Arrêterons le discours productiviste ! Nous devons avoir le courage de parler de ces sujets. Les annonceurs sont plus prêts à entendre que ce que l’on peut penser.

Quel regard portes-tu sur les résultats de l’étude métiers du SYRPA ?

Les répondants perçoivent très clairement l’utilité de l’IA sur les volets les plus opérationnels de la communication — production de contenu et SEO en tête — ce qui illustre une approche encore fortement centrée sur la productivité. Pourtant, l’IA transforme aussi en profondeur les dimensions les plus stratégiques de nos métiers : en en explorant des angles créatifs inédits, en simulant des scénarios de campagne, ou encore en nourrissant les réflexions business dès l’amont. Parallèlement, les inquiétudes exprimées — droits d’auteur, RGPD, éthique — montrent une certaine maturité du secteur sur les limites à ne pas franchir.

 

S’il est naturel que la logique d’efficacité soit le premier réflexe, la spécificité de notre industrie et de son modèle actuel doit nous encourager à voir plus loin : repenser notre valeur, notre rôle et notre relation au client.

 

Propos recueillis par Caroline Chadal, agence Communicante

En partenariat avec la journée de la communication agricole du SYRPA

Ça bouillonne : L’IA générative : révolution technologique ou bombe écologique ?

Ça bouillonne : L’IA générative : révolution technologique ou bombe écologique ?

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Comment saisir l’opportunité de l’IA générative sans sacrifier nos efforts pour la cause environnementale

Nouvelles méthodes d'écoute Vibrations communicantes

© Thomas Brilland

Pour Vibrations communicantes, nous avons interviewé Thomas Brilland, chargé des questions liées à l’impact environnemental de l’intelligence artificielle au service sobriété numérique de l’ADEME. L’objectif : explorer les liens entre communication, intelligence artificielle et responsabilité environnementale, afin que chaque communicant comprenne sa valeur-ajoutée et adopte une utilisation intelligente et responsable de l’IA générative.

Novembre 2022. ChatGPT débarque et le monde en est changé. En quelques mois, l’intelligence artificielle générative arrive à se rendre indispensable au niveau professionnel mais aussi personnel. Contrairement à l’arrivée d’Internet dans les années 2000, personne ne commet l’erreur de sous-estimer cette nouveauté. L’IA générative n’est pas une mode éphémère : elle s’impose comme l’outil incontournable de demain.

Mais cette course à l’innovation arrive à un moment critique. Alors que la France s’efforce de réduire son empreinte carbone et que le secteur numérique représente déjà 4,4% de l’empreinte carbone nationale avant son arrivée, l’IA générative menace d’anéantir des années d’efforts environnementaux. Le paradoxe est là : nous développons massivement des technologies énergivores précisément quand nous devrions décarboner.

L’impossible équation énergétique

« Il y a un manque de transparence très important des acteurs principaux du domaine », explique Thomas Brilland, ingénieur numérique à l’ADEME. Cela rend difficile l’évaluation précise de l’impact environnemental de l’IA, mais plusieurs signaux d’alarme sont identifiables.

Lors du sommet de l’IA, la France a annoncé des projets de data centers pouvant atteindre 1 gigawatt de puissance installée, l’équivalent d’un réacteur nucléaire entier. Ces infrastructures ne se contentent pas de stocker des données comme le cloud : elles effectuent des calculs de haute performance avec une très forte densité énergétique.

L’impact se mesure à deux niveaux. D’abord, la fabrication des équipements : puces ultraspécialisées nécessitant des métaux rares, procédés industriels lourds, extraction minière polluante. Ensuite, l’utilisation : consommation électrique massive pour alimenter les calculs, mais aussi consommation d’eau considérable pour refroidir ces installations.

Face à ce constat, une hiérarchie émerge entre les différents usages. Générer une image consomme plus d’énergie que produire du texte, et créer une vidéo surpasse encore ces deux usages.

Mais une différence plus fondamentale oppose les modèles généralistes aux solutions spécialisées. ChatGPT, capable de tout faire, nécessite un « cerveau » gigantesque pour traiter n’importe quelle demande. À l’inverse, une IA générative dédiée uniquement à une spécialité comme la traduction ou à la transcription peut fonctionner avec des ressources beaucoup plus modestes. « Plus le modèle est généraliste et sait tout faire, plus il va être consommateur », précise l’expert de l’ADEME.

Cette logique devrait guider nos choix. Plutôt que de développer des « mégamodèles » universels, la France aurait intérêt à miser sur des IA spécialisées, plus sobres et répondant à des besoins précis. Une stratégie qui permettrait de concilier souveraineté technologique et responsabilité environnementale.

Le défi professionnel : besoin réel ou effet de mode ?

Dans le secteur de la communication, cette réflexion devient cruciale. L’arrivée de l’IAgen crée une pression concurrentielle inédite : quand un collègue produit du contenu en quelques clics, difficile de résister à la tentation. Mais cette course à la productivité peut masquer un questionnement essentiel.

La première question à se poser : ce besoin existait-il avant l’IA ? Si une campagne publicitaire nécessitait auparavant un photographe, un graphiste et plusieurs jours de travail, l’automatisation par IA répond-elle à une véritable nécessité ou crée-t-elle artificiellement un nouveau standard ?
Pour Thomas Brilland, la démarche d’éco-conception doit s’appliquer dès la genèse des projets : « Simplement le fait de se poser des questions à chaque étape du projet, va nécessairement réduire l’impact. » Identifier le besoin réel, évaluer les alternatives sans IA, choisir des outils spécialisés quand l’intelligence artificielle s’impose réellement.

Cette réflexion prend une dimension éthique particulière. Comment justifier des campagnes entièrement générées par IA tout en revendiquant un engagement environnemental ?

Le risque de greenwashing devient omniprésent : utiliser massivement des technologies énergivores tout en communiquant sur sa conscience écologique est incohérent.

L’intelligence de la sobriété 

L’IA, comme toute technologie puissante, amplifie nos choix : sage si elle répond à des besoins identifiés, destructrice si elle crée artificiellement de nouveaux standards de consommation.

Dans le secteur de la communication, cette responsabilité devient collective. Chaque campagne générée par IA, chaque visuel automatisé, chaque contenu produit sans réflexion préalable contribue à une trajectoire énergétique non durable. La véritable innovation ne consiste pas à tout automatiser, mais à automatiser intelligemment.

Tam-Tam : Tomorrow Rising récompensée au Deauville Green Awards

Tam-Tam : Tomorrow Rising récompensée au Deauville Green Awards

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BKE, une coopérative engagée, récompensée pour la série Tomorrow Rising au festival de Deauville Green Awards.

Prix Argent pour la série Tomorrow Rising au Deauville Green Awards

© BKE

Tomorrow Rising, primé aux Deauville Green Awards, donne voix à celles et ceux qui bâtissent l’avenir loin des projecteurs.

La série Tomorrow Rising, produite par la Fondation Schneider Electric, vient de recevoir le Prix Argent aux Deauville Green Awards. Cette websérie raconte les histoires de Roswita, Shirley, Christine, Farha et Azael.
À travers eux, ce sont des millions de femmes et d’enfants dont on entend les voix, souvent invisibles mais porteuses d’un vrai changement.

Ces récits montrent que l’accès à l’énergie et à la formation, ce n’est pas juste une question de confort. C’est permettre d’apprendre, de soigner, de travailler, et surtout de s’émanciper. Chaque jour, ces personnes se battent avec courage et modestie pour construire un avenir meilleur.

BKE, coopérative engagée, croit que cet avenir se construit ensemble, en écoutant et en soutenant ceux dont les voix sont trop rarement entendues.

Parce que demain ne se fera pas sans nous.

Découvrez dès maintenant la websérie !

Par Nicolas Jalu, Coopérative BKE

Ça bouillonne : IA et événementiel, le regard de Victor BERTHON

Ça bouillonne : IA et événementiel, le regard de Victor BERTHON

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« From event to content » : 3 questions à Victor BERTHON sur l’intelligence artificielle dans l’événementiel

Nouvelles méthodes d'écoute Vibrations communicantes

Victor BERTHON , directeur Développement & Digital au Sommet de l’Elevage

© Victor BERTHON

Et si l’IA impactait non seulement les événements, mais aussi ce que l’on en fait une fois le rideau tiré ? Pour Victor Berthon, en charge du Développement du Sommet de l’Élevage, l’IA ne remplace pas l’humain – elle l’augmente, et redéfinit l’expérience événementielle.

L’innovation fait partie intégrante de l’ADN du Sommet de l’Élevage. Chaque année, ses équipes ne cessent de se renouveler pour aller plus loin dans l’expérience événementielle proposée. Vecteur d’innovation, l’IA a-t-elle trouvé sa place au Sommet aujourd’hui ?

« Pour l’édition 2024, nous avions voulu tester la génération d’image pour notre affiche officielle… Presque sans surprise, le résultat ne fut pas à la hauteur du travail d’un photographe professionnel, qui a réussi à saisir toutes les qualités d’une belle race de concours.

Depuis, l’IA a très largement évolué, et nous avons pu l’intégrer dans l’expérience proposée à nos différents publics. Un assistant conversationnel prend place sur notre site internet, les fiches exposants se génèrent à partir d’un simple lien web, et des articles sont publiés à partir des requêtes de notre communauté tout au long de l’année. L’IA nous aide à aller plus loin dans notre ambition de faire vivre le Sommet au-delà de l’événement présentiel. »

Dans l’éternelle dualité de la machine face à l’humain, où voyez-vous l’IA dans un secteur comme l’événementiel où les relations sont reines ?

« L’intelligence artificielle doit être au service de la rencontre, et j’ai envie de dire, encore plus dans le milieu agricole, où l’on a besoin de se serrer la main, de se voir en vrai.
Dans cette optique, nous ne devons plus nous limiter à capter et retransmettre tel quel la somme de contenus captés sur nos événements. Il s’agit de passer « from event to content » – de l’événement au contenu. C’est pour cela que nous avons notamment créé Le Comptoir des Eleveurs , avec l’ambition de faire vivre autrement le contenu capté lors des conférences, concours, plateaux TV… qui se tiennent pendant le Sommet . Un moyen de nourrir nos communautés toute l’année, et lui permettre de se retrouver au-delà de ces 4 jours d’événement. Grâce à l’IA nous avons cette capacité d’industrialiser cette production de contenus, toujours plus en adéquation avec les attentes de nos publics.
Pour autant, notre sens critique reste maître, et il ne faut pas croire que l’IA a toujours raison. Nous restons les garants de la qualité de l’expérience produite pendant et hors de l’événement. »

Pensez-vous que l’IA pourrait redéfinir l’organisation même des événements dans les années à venir ?

« Cela évolue tellement vite, difficile de prédire de quoi demain sera fait.
Mais je pense qu’il ne faut pas avoir honte ou peur d’utiliser l’IA. Elle nous aide à nous réinventer, à faire germer d’autres idées, à avoir une compréhension plus pointue et accélérée des attentes de nos publics, … C’est une véritable opportunité dont il faut se saisir dans nos métiers !
Pour autant, l’IA peut aider à connecter les gens, mais elle ne remplacera jamais un sourire, une poignée de main, ni l’envie de discuter autour d’un café. Le cœur de l’événementiel, c’est la rencontre. L’homme est un être social, et ça l’IA ne pourra jamais le remplacer. »

Pour (re)découvrir l’expérience Sommet de l’Élevage c’est par ici !

Edito newsletter 9 : L’IA générative, questions de valeurs

Edito newsletter 9 : L’IA générative, questions de valeurs

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Comment l’IA vient-elle challenger les communicants à la fois sur leurs valeurs morales et sur leur valeur professionnelle propre ?

Vibrations Slider NL6

©agence Communicante
Image générée à l’aide de Midjourney

L’IA générative. Le sujet explose. Qualifiée aisément de révolution aux promesses vertigineuses par la presse, les mots pour en parler sont toujours très forts.

Quand elle est utilisée à titre personnel, le rapport à l’IA générative peut relever du jeu, de l’émerveillement et de l’excitation devant le champ des possibles qui s’ouvre.

Mais à l’échelle des organisations, le défi est tout autre. L’adoption de l’IA pour des pratiques professionnelles à l’échelle d’un système soulève encore énormément de questions, qui bousculent un bon nombre de repères. Car elle questionne le rapport au temps, le rapport à la créativité, à la propriété intellectuelle, à l’efficience jusqu’au rapport à la liberté ! Et, par-dessus tout, elle questionne la valeur de la connaissance et de l’intellect.

Avec ses frontières floues, l’IA challenge aussi l’être humain sur ses valeurs morales propres, notamment son éthique personnelle et l’impact environnemental de ses pratiques.

Chez les experts de la communication, force est de constater que l’IA génère aussi beaucoup de craintes et de peurs :

  • Quelle est ma place de communicant, quelle est ma valeur-ajoutée face à l’IA générative ?
  • Comment continuer à m’adapter face à la vitesse d’évolution des outils ?
  • Quelles sont les compétences nécessaires à développer, recruter aujourd’hui ?
  • Est-ce éthique d’utiliser l’IA générative ? Est-ce dangereux ? Quelle est sa fiabilité ?
  • Comment créer par l’IA des contenus qui restent audacieux et différenciants ?

Alors, oui, il est encore plus que nécessaire de parler de l’IA, de décrypter ses enjeux et comprendre son fonctionnement pour que chacun puisse se faire un avis éclairé, repositionner sa valeur professionnelle, et regarder l’IA dans un rapport sain à ses propres valeurs morales.

C’est justement ce que le Syrpa propose de faire lors de la 3è Journée de la Communication Agricole qui se tiendra le 26 juin, à Paris, dans une approche très pratique dédiée à l’avenir de la communication appliqué au secteur agricole.

Au préalable, nous vous proposons de prendre de la hauteur sur le sujet à travers plusieurs explorations complémentaires de Vibrations communicantes !

Nous entrerons par des applications très concrètes. Quelle approche stratégique pour l’événementiel ? avec Victor Berthon du Sommet de l’élevage. Quelle utilisation responsable de l’IA générative en communication ? avec les experts de l’ADEME. Puis, César Doye, de l’Agence des agences, éclairera de haut le rapport à l’IA générative dans le secteur de la communication et l’enjeu de valeur qui est lié. En même temps que les premiers chiffres de l’Observatoire des métiers du Syrpa, spécial IA, vous seront dévoilés !

Nous vous souhaitons de belles lectures, de bonnes et humaines réflexions, et nous espérons avoir le plaisir de vous retrouver à la Journée de la Communication Agricole le 26 Juin à Paris !

 

Pour vous inscrire à la Journée de la Communication Agricole, c’est par ici

On vous a transmis cette news ? Pour vous abonner gratuitement à Vibrations communicantes, c’est par

Sébastien Evain, président du Syrpa

Véronique Spaletta et Caroline Chadal, directrices associées de l’agence Communicante