Ça bouillonne : Anne-Sophie Delassus, éleveuse et présidente de la région Nord Sodiaal

Ça bouillonne : Anne-Sophie Delassus, éleveuse et présidente de la région Nord Sodiaal

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« L’essentiel n’est pas d’être un homme ou une femme, mais d’apporter un regard différent pour faire avancer les choses »

Nouvelles méthodes d'écoute Vibrations communicantes

© Anne Sophie Delassus

Anne-Sophie Delassus, éleveuse de 35 ans installée près de Dunkerque, incarne le visage d’une agriculture en pleine évolution. Elle nous montre comment les femmes prennent place dans les organisations agricoles.

« Anne-Sophie Delassus aspire à faire bouger les lignes. Dès son installation, elle s’engage auprès de sa coopérative Sodiaal en tant qu’élue de sa section. En 2023, elle devient la première femme à intégrer le bureau de la coopérative, en état élue présidente de la région Nord. « Pour moi, c’est important de s’ouvrir aux autres, et de ne pas rester la tête dans le guidon.« 
Pourtant, la sous-représentation des femmes dans les institutions demeure une réalité. Chez Sodiaal, seules 3 femmes siègent au conseil d’administration sur 26 membres au total. Un constat révélateur des défis à surmonter pour les femmes : légitimité, équilibre vie familiale et professionnelle, sans oublier « les barrières que l’on s’impose à soi-même « .
Si la Journée des droits des femmes met en lumière ces enjeux, Anne-Sophie Delassus insiste : c’est au quotidien que la question doit être posée pour que la présence féminine en agriculture et dans les instances ne soit plus une exception, mais une évidence.

La mixité : un levier pour enrichir les débats

Pour Anne-Sophie Delassus, la mixité va bien au-delà de la question du genre : elle repose sur la diversité des sensibilités et des expériences. « Plus les gens sont différents, plus les idées sont bonnes. » Cette complémentarité, entre hommes et femmes mais aussi entre générations, est essentielle pour nourrir la réflexion et prendre de meilleures décisions.
Elle en est convaincue : « La mixité et la diversité des sensibilités sont de véritables atouts. Elles enrichissent les débats et apportent une vraie plus-value aux décisions. » Au final, l’essentiel n’est pas d’être un homme ou une femme, mais d’apporter un regard différent pour faire avancer les choses.

L’avenir de l’agriculture au féminin

Selon elle, il ne s’agit pas d’opposer les genres, mais de rappeler une évidence : « Nous avons tous notre place, les femmes ont autant leur rôle que n’importe qui d’autre. »  Elle plaide pour une représentation équilibrée à tous les niveaux, des champs aux instances de décision : « Il faut autant de femmes dans les organisations agricoles que dans les exploitations. »
Son ambition pour l’agriculture ? Que la présence féminine soit une réalité et que plus aucune femme ne se sente illégitime à l’idée de s’installer ou de s’engager dans les instances de décision.

Fille d’éleveurs, Anne-Sophie Delassus a repris la ferme familiale avec le soutien de la coopérative Sodiaal , en 2014. Elle dirige actuellement, avec son mari et sa mère, une exploitation de 120 vaches laitières et 150 hectares de SAU. Aussi engagée pour une agriculture durable, Anne Sophie Delassus développe son exploitation sur un modèle bas carbone.

On frissonne pour : L’enquête de Back to Earth sur l’accueil des néo-ruraux

On frissonne pour : L’enquête de Back to Earth sur l’accueil des néo-ruraux

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Mieux comprendre le signal faible du retour à la terre pour mieux l’accompagner

Back to Earth, le mouvement associatif qui valorise et qui relie les acteurs français du retour à la terre et de l’avenir des territoires dans leur diversité.

© Back to Earth

Avec l’arrivée de néo-ruraux, néo-agriculteurs, peut-on parler d’un choc des cultures au sein des mondes agricoles et ruraux ? Comment se manifeste-t-il ? A quelles innovations donne-t-il lieu dans l’entrepreneuriat, l’agriculture ? Back to Earth dévoile ce mois-ci les résultats d’une vaste enquête menée pendant 1 an.

L’association Back To Earth a lancé il y a 3 ans un Observatoire du retour à la terre, dans le but de mieux comprendre le signal faible du retour à la terre, afin de mieux l’accompagner par des politiques privées et publiques. En 2024-2025 une grande enquête* a été conduite : 80 entretiens sur 5 territoires en France et en Grèce, auprès d’élus, de néo agriculteurs, d’agriculteurs, de porteurs de projets et d’acteurs de l’accompagnement. L’objectif de cette étude menée pendant 1 an est d’analyser au-delà du cliché médiatique du choc des cultures, l’accueil réservé aux porteurs de projets de retour à la terre agricole, leur impact sur les territoires, et la façon dont ils interagissent avec les acteurs locaux.

Une question explorée dans cinq territoires très divers avec l’intuition profonde que l’hybridation entre les pratiques des « néos » et celles des habitants du cru, peut être un fantastique levier de transitions. Mais se rencontrent-ils seulement ? Où ? Quels sont leurs sujets de divergences/convergences ?

Nous attendons avec impatience les résultats de cette étude qui fera l’objet d’une publication sur le site www.backtoearth.fr courant mars.

Pour plus de renseignements : emmanuelle.coratti@backtoearth.fr

*Le projet a été porté avec le soutien du ministère de l’agriculture, du réseau rural national et de l’Union européenne, en partenariat avec l’Agence des Pyrénées, l’Institut d’Auvergne Rhône Alpes du Développement des Territoires, Le Cube Consultants et une équipe de chercheurs grecs, donne des résultats passionnants.

On frissonne pour : le webinaire VoxDemeter

On frissonne pour : le webinaire VoxDemeter

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Avec son webinaire « Les Agricultrices, actrices incontournables de la transition pour une agriculture durable et prospère pour tous ! » VoxDemeter replace – enfin – la parole des agricultrices au cœur de la transition !

4 agricultrices ont apporté leurs témoignages lors du webinaire organisé par VoxDemeter, à l’occasion de la Journée des Droits des Femmes

© VoxDemeter

La parole des agricultrices peine à gagner en crédibilité, surtout lorsqu’il s’agit de transition de modèles agricoles bien établis. Pourtant les qualités du féminin ont tout pour faire grandir et avancer la réflexion sur ce sujet. Ce constat est tout l’enjeu du webinaire proposé par VoxDemeter, mené à l’occasion de la Journée des Droits des Femmes.

« Plus de 80 % des agriculteurs français souhaitent adopter – ou ont déjà adopté des pratiques agronomiques durables » dévoile le rapport de « La Grande Consultation des Agriculteurs » menée en décembre dernier par The Shift Project . Ou plutôt « 80 % des agriculteurs et agricultrices » : car oui, cet abus de langage mérite d’être ici rectifié.
Le rapport souligne en effet que « les motifs de préoccupation varient significativement selon le genre » et que « Les femmes sont plus préoccupées par des risques environnementaux systémiques (climat, biodiversité, manque d’eau, gaz à effet de serre…) et par les risques des phytosanitaires pour la santé humaine ou l’environnement. ». Si ces agricultrices sont préoccupées, alors c’est qu’elles ont des choses à dire et des idées à partager !

« Les agricultrices, actrices incontournables de la transition pour une agriculture durable et prospère pour tous »
Ce constat fut tout l’objet du webinaire participatif organisé à l’occasion de la Journée des Droits des Femmes par Anne DUMONNET LECA (Fondatrice et Présidente de l’association VoxDemeter) et Hélène LEPETIT (copilote de La Grande Consultation des Agriculteurs et CEO de The Very Good Future).
Au-delà des chiffres dressés par le rapport, ce rendez-vous a surtout – enfin – donné la parole aux principales concernées : les agricultrices.
À travers les regards croisés de Emeline BENTZ – Maraichère bio et Chargée de mission auprès du CIVAM, Marie-Françoise DEVICHI – Vigneronne et Présidente de l’AOP Patrimonio et Vice-présidente du CIV Corse, Delphine DESCAMPS – Éleveuse engagée et Présidente d’un méthaniseur, et Anne-Laure DURAND – Ingénieure agronome, installée en grandes cultures en Techniques Culturales Simplifiées, ce webinaire aborde le thème de la transition agricole au prime du regard des agricultrices.
Des femmes qui abordent sans détour leurs visions du métier, et des difficultés auxquelles elles peuvent se heurter en tant que cheffes d’entreprise agricoles, mères, administratrices de collectifs, et leurs idées pour l’avenir. « Une solution pour permettre à plus de femmes de prendre des responsabilités ? Ce serait de limiter le cumul de mandats ! » suggère par exemple Anne-Laure DURAND.

 Un webinaire qui fait du bien, on vous invite à écouter l’audio juste ici !

Tam-Tam : Sortie du Déméter 2025

Tam-Tam : Sortie du Déméter 2025

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Le Déméter 2025 invite à une exploration des enjeux agricoles et alimentaires mondiaux à l’horizon 2050

Communicante au SIA

La 31ème édition du Déméter, intitulée « Nourrir 2050 : de la fiction à la réalité » est désormais disponible.

© Club Demeter

Ouvrage de référence sur les enjeux stratégiques de l’agriculture et de l’alimentation, le Déméter nous emmène pour sa 31e édition dans une projection de plusieurs futurs possibles et contradictoires, avec l’objectif que les fictions alimentaires puissent dialoguer avec les réalités agricoles.

Comment assurer la sécurité alimentaire pour une population mondiale en expansion, tout en tenant compte des limites des ressources naturelles ? C’est la question à laquelle Le Déméter 2025 nous invite à réfléchir.

En explorant les enjeux agricoles et alimentaires mondiaux à l’horizon 2050, les auteurs mettent en avant l’importance d’une réflexion prospective face aux défis climatiques, géopolitiques et économiques croissants. Certes, les enjeux sont de taille, et, devant la complexité des questions soulevées, il pourrait être tentant de sombrer dans le pessimisme ou l’attentisme. Une prise de recul s’avère nécessaire, et une manière de repenser nos approches également. Car Nourrir 2050 ne sera pas uniquement l’affaire de systèmes agricoles et alimentaires qui devront être à la hauteur.

L’édition 2025 du Déméter propose ainsi de réfléchir autrement à ces questions, de combiner des analyses, des idées et des expériences, de comprendre que la complexité nous impose modestie et motivation, de s’ouvrir pour penser, de penser pour agir et d’agir pour progresser.

L’ouvrage contient des analyses, des focus géoéconomiques, agricoles et agroalimentaires, des cartes, infographies et statistiques mondiales.
Sous la direction de Sébastien Abis, chercheur associé à l’IRIS et directeur du Club DEMETER et la coordination d’Anaïs Marie chargée des publications et des études au Club DEMETER.

Vous pouvez commander le Déméter 25, ici

Ça bouillonne : Séverine Couvreur, ambassadrice auprès de l’UNESCO, présidente de la commission des viticultrices de Champagne

Ça bouillonne : Séverine Couvreur, ambassadrice auprès de l’UNESCO, présidente de la commission des viticultrices de Champagne

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« Le regard féminin conduit à une meilleure considération des conditions de travail, améliorant ainsi l’attractivité du métier et facilitant le recrutement »

Nouvelles méthodes d'écoute Vibrations communicantes

Séverine Couvreur, ambassadrice auprès de l’UNESCO, présidente de la commission des viticultrices de Champagne

© Commission des viticultrices de Champagne

Les choses bougent en Champagne ! À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, Séverine Couvreur, viticultrice et présidente de la Commission des Viticultrices de Champagne, souligne le rôle crucial des femmes dans les transitions sociétales. En Champagne, les femmes jouent un rôle moteur, notamment en influençant les pratiques viticoles vers plus de santé et de bien-être au travail. Leur perspective contribue à améliorer l’attractivité de la profession et à transformer les considérations environnementales et sociétales dans le secteur.

Séverine Couvreur incarne un « regard féminin » unique et audacieux. En tant que Présidente de la Mission Coteaux, Maisons et Caves de Champagne, elle ose entreprendre différemment pour valoriser les paysages inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO. À la tête de la Commission des Viticultrices du Syndicat Général des Vignerons, elle défend l’œnotourisme et mène des actions innovantes pour la reconnaissance des femmes dans le secteur viticole champenois. Ces initiatives, qui dénotent par leur originalité, font évoluer les mentalités, même dans une région où l’on pourrait croire ces questions déjà résolues.

Avec son mari, elle a lancé la marque de champagne Varicour et fondé l’association 286M pour promouvoir la montagne de Reims. Son engagement s’étend également aux défis environnementaux et au développement durable, démontrant sa capacité à innover et à inspirer le changement.

Le regard féminin, moteur de transition

« Les agriculteurs ont la même activité physique que des athlètes professionnels » témoigne Séverine Couvreur. Cependant, cette réalité est souvent méconnue des principaux intéressés, qui ne réalisent pas toujours l’impact de cette fatigue intense sur leur corps.

Selon elle, il est essentiel de rappeler que le corps reste le premier outil de travail des viticulteurs. « Ils doivent en prendre soin, tant sur le plan physique que psychologique », insiste-t-elle. Dans un secteur où la virilité et les traditions poussent souvent à taire les difficultés, les femmes jouent un rôle clé. Elles accompagnent fréquemment les agriculteurs dans leurs moments de détresse, qu’il s’agisse de burn-out ou de maladies liées à l’activité. « Ce sont elles qui, généralement, sont les plus enclines à réfléchir et à agir pour faire évoluer ces questions », souligne la viticultrice. Pour le secteur agricole, cette prise de conscience représente une avancée complexe, et pourra « conduire à une meilleure considération des conditions de travail, améliorant ainsi l’attractivité du métier et facilitant le recrutement ».

Loin des clichés, une volonté d’aboutir

Au-delà des clichés souvent moqueurs sur l’engagement des femmes, Séverine Couvreur rappelle une réalité : « Le temps dont disposent les femmes est souvent plus restreint que celui des hommes ». En plus de leurs activités professionnelles, elles assument encore majoritairement les tâches familiales, bien que cette situation évolue avec les nouvelles générations. Ainsi, lorsque les femmes s’engagent dans des actions pour faire évoluer leur secteur, elles le font avec une volonté d’aboutir et un sérieux marqué. « Elles consacrent ce temps précieux pour être actives et apporter des réponses concrètes aux problématiques rencontrées », souligne-t-elle. « Leur engagement est synonyme de détermination et de travail rigoureux ».

Une journée symbolique et nécessaire

Le 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, passe souvent inaperçu dans le secteur viticole. Pourtant, cette journée revêt une importance particulière : elle permet de mettre en lumière des exemples inspirants de femmes qui font bouger les lignes. « Montrer que des femmes s’engagent et réussissent dans ce domaine, c’est encourager d’autres femmes à prendre le relais et à oser se lancer », conclut Séverine Couvreur.

*Non Issu du Monde Agricole

Par Antoine Monnier – agence Communicante

En partenariat avec VoxDemeter 

Tam Tam : Le premier guide pour la Résilience Alimentaire, réalisé par le CNRA

Tam Tam : Le premier guide pour la Résilience Alimentaire, réalisé par le CNRA

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Résilience alimentaire : un guide pour tous, un enjeu commun

Communicante au SIA

© CNRA / AFNOR

Face aux défis croissants du climat, de l’économie et des enjeux sociaux, notre système alimentaire est mis à rude épreuve. Pour y faire face, le guide AFNOR SPEC 2301 propose des solutions pratiques et concrètes pour renforcer la résilience alimentaire des territoires. Il s’adresse à tous ceux qui œuvrent pour une alimentation plus durable et locale, qu’il s’agisse des collectivités, des agriculteurs, des entreprises, des associations ou même des citoyens engagés.

Ce guide ne se limite pas à une catégorie d’acteurs : il a été conçu pour accompagner tous ceux qui souhaitent agir, qu’ils soient producteurs, décideurs ou consommateurs. Il offre des méthodes éprouvées et des exemples concrets pour rendre les territoires plus résilients face aux crises alimentaires, en combinant des actions locales et des stratégies de transformation à plus grande échelle.

 

Un travail collectif sans précédent

Fruit de deux ans de travail, ce guide est le résultat d’un effort exceptionnel mené par le CNRA. Hermine Chombart de Lauwe, déléguée générale, partage :

« Beaucoup de joie, énormément de fierté et, soyons honnêtes, un brin d’émotion. Ce guide, c’est plus de 200 contributeurs, des échanges passionnés (et parfois un peu animés 😄), des idées par milliers, 155 bonnes pratiques concrètes et, surtout, une volonté commune : rendre nos territoires plus résilients face aux aléas.« 

L’ampleur du travail est remarquable : rassembler autant de personnes, les mobiliser et aboutir à un consensus malgré des intérêts parfois divergents.

 

Les 5 piliers du guide

1. Protéger les ressources naturelles : eau, sols, biodiversité
La gestion durable de l’eau, des sols, de la biodiversité, des semences et des matières fertilisantes est essentielle pour garantir un système alimentaire résilient. En encourageant une gestion collective et responsable de ces ressources, les territoires réduisent les risques de pénuries et renforcent leur capacité d’adaptation face aux crises.

2. Accompagner la transformation des systèmes agricoles
Des exploitations robustes, attractives et viables sur le long terme sont la clé d’une alimentation durable. Ce guide met en avant des stratégies pour améliorer la transmission des exploitations, favoriser l’installation de nouvelles générations d’agriculteurs, diversifier les productions et assurer une rémunération équitable aux producteurs.

3. Promouvoir l’économie circulaire et les circuits courts
Le bassin de vie, qui regroupe production, transformation, distribution et consommation, est l’échelle clé pour une organisation alimentaire efficace. En renforçant la logistique locale et la coopération entre acteurs du territoire, on favorise un approvisionnement plus sûr et plus solidaire face aux perturbations.

4. Soutenir l’autonomie alimentaire des territoires
En valorisant les déchets alimentaires, en allongeant la durée de vie des produits et en intégrant des principes d’écologie industrielle, les territoires peuvent réduire leur dépendance aux ressources extérieures et mieux absorber les chocs économiques et environnementaux.

5. Encourager la coopération entre acteurs locaux
Un territoire résilient repose sur des diagnostics précis, des solutions adaptées et un cadre de gouvernance structuré. Ce guide propose des outils pour accompagner les collectivités et entreprises dans la mise en place de stratégies durables, en intégrant innovation, financement et responsabilités territoriales.

Bien plus qu’un simple guide, cet ouvrage est une boîte à outils opérationnelle prête à être utilisée par tous avec ces 155 bonnes pratiques illustrées avec des exemples concrets. Comme l’affirme Hermine Chombart de Lauwe :
« Nous avons désormais un document concret qui va enfin pouvoir être mis entre les mains de ceux qui veulent agir.« 

Grâce à l’engagement du CNRA et de ses contributeurs, ce guide ouvre la voie à des territoires plus autonomes, plus durables et mieux préparés aux défis de demain.

Téléchargez gratuitement le guide : Guide de bonnes pratiques AFNOR SPEC pour la résilience alimentaire – CNRA – Résilience alimentaire