Tam-Tam : Sortie du Déméter 2025

Tam-Tam : Sortie du Déméter 2025

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Le Déméter 2025 invite à une exploration des enjeux agricoles et alimentaires mondiaux à l’horizon 2050

Communicante au SIA

La 31ème édition du Déméter, intitulée « Nourrir 2050 : de la fiction à la réalité » est désormais disponible.

© Club Demeter

Ouvrage de référence sur les enjeux stratégiques de l’agriculture et de l’alimentation, le Déméter nous emmène pour sa 31e édition dans une projection de plusieurs futurs possibles et contradictoires, avec l’objectif que les fictions alimentaires puissent dialoguer avec les réalités agricoles.

Comment assurer la sécurité alimentaire pour une population mondiale en expansion, tout en tenant compte des limites des ressources naturelles ? C’est la question à laquelle Le Déméter 2025 nous invite à réfléchir.

En explorant les enjeux agricoles et alimentaires mondiaux à l’horizon 2050, les auteurs mettent en avant l’importance d’une réflexion prospective face aux défis climatiques, géopolitiques et économiques croissants. Certes, les enjeux sont de taille, et, devant la complexité des questions soulevées, il pourrait être tentant de sombrer dans le pessimisme ou l’attentisme. Une prise de recul s’avère nécessaire, et une manière de repenser nos approches également. Car Nourrir 2050 ne sera pas uniquement l’affaire de systèmes agricoles et alimentaires qui devront être à la hauteur.

L’édition 2025 du Déméter propose ainsi de réfléchir autrement à ces questions, de combiner des analyses, des idées et des expériences, de comprendre que la complexité nous impose modestie et motivation, de s’ouvrir pour penser, de penser pour agir et d’agir pour progresser.

L’ouvrage contient des analyses, des focus géoéconomiques, agricoles et agroalimentaires, des cartes, infographies et statistiques mondiales.
Sous la direction de Sébastien Abis, chercheur associé à l’IRIS et directeur du Club DEMETER et la coordination d’Anaïs Marie chargée des publications et des études au Club DEMETER.

Vous pouvez commander le Déméter 25, ici

Tam Tam : Le premier guide pour la Résilience Alimentaire, réalisé par le CNRA

Tam Tam : Le premier guide pour la Résilience Alimentaire, réalisé par le CNRA

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Résilience alimentaire : un guide pour tous, un enjeu commun

Communicante au SIA

© CNRA / AFNOR

Face aux défis croissants du climat, de l’économie et des enjeux sociaux, notre système alimentaire est mis à rude épreuve. Pour y faire face, le guide AFNOR SPEC 2301 propose des solutions pratiques et concrètes pour renforcer la résilience alimentaire des territoires. Il s’adresse à tous ceux qui œuvrent pour une alimentation plus durable et locale, qu’il s’agisse des collectivités, des agriculteurs, des entreprises, des associations ou même des citoyens engagés.

Ce guide ne se limite pas à une catégorie d’acteurs : il a été conçu pour accompagner tous ceux qui souhaitent agir, qu’ils soient producteurs, décideurs ou consommateurs. Il offre des méthodes éprouvées et des exemples concrets pour rendre les territoires plus résilients face aux crises alimentaires, en combinant des actions locales et des stratégies de transformation à plus grande échelle.

 

Un travail collectif sans précédent

Fruit de deux ans de travail, ce guide est le résultat d’un effort exceptionnel mené par le CNRA. Hermine Chombart de Lauwe, déléguée générale, partage :

« Beaucoup de joie, énormément de fierté et, soyons honnêtes, un brin d’émotion. Ce guide, c’est plus de 200 contributeurs, des échanges passionnés (et parfois un peu animés 😄), des idées par milliers, 155 bonnes pratiques concrètes et, surtout, une volonté commune : rendre nos territoires plus résilients face aux aléas.« 

L’ampleur du travail est remarquable : rassembler autant de personnes, les mobiliser et aboutir à un consensus malgré des intérêts parfois divergents.

 

Les 5 piliers du guide

1. Protéger les ressources naturelles : eau, sols, biodiversité
La gestion durable de l’eau, des sols, de la biodiversité, des semences et des matières fertilisantes est essentielle pour garantir un système alimentaire résilient. En encourageant une gestion collective et responsable de ces ressources, les territoires réduisent les risques de pénuries et renforcent leur capacité d’adaptation face aux crises.

2. Accompagner la transformation des systèmes agricoles
Des exploitations robustes, attractives et viables sur le long terme sont la clé d’une alimentation durable. Ce guide met en avant des stratégies pour améliorer la transmission des exploitations, favoriser l’installation de nouvelles générations d’agriculteurs, diversifier les productions et assurer une rémunération équitable aux producteurs.

3. Promouvoir l’économie circulaire et les circuits courts
Le bassin de vie, qui regroupe production, transformation, distribution et consommation, est l’échelle clé pour une organisation alimentaire efficace. En renforçant la logistique locale et la coopération entre acteurs du territoire, on favorise un approvisionnement plus sûr et plus solidaire face aux perturbations.

4. Soutenir l’autonomie alimentaire des territoires
En valorisant les déchets alimentaires, en allongeant la durée de vie des produits et en intégrant des principes d’écologie industrielle, les territoires peuvent réduire leur dépendance aux ressources extérieures et mieux absorber les chocs économiques et environnementaux.

5. Encourager la coopération entre acteurs locaux
Un territoire résilient repose sur des diagnostics précis, des solutions adaptées et un cadre de gouvernance structuré. Ce guide propose des outils pour accompagner les collectivités et entreprises dans la mise en place de stratégies durables, en intégrant innovation, financement et responsabilités territoriales.

Bien plus qu’un simple guide, cet ouvrage est une boîte à outils opérationnelle prête à être utilisée par tous avec ces 155 bonnes pratiques illustrées avec des exemples concrets. Comme l’affirme Hermine Chombart de Lauwe :
« Nous avons désormais un document concret qui va enfin pouvoir être mis entre les mains de ceux qui veulent agir.« 

Grâce à l’engagement du CNRA et de ses contributeurs, ce guide ouvre la voie à des territoires plus autonomes, plus durables et mieux préparés aux défis de demain.

Téléchargez gratuitement le guide : Guide de bonnes pratiques AFNOR SPEC pour la résilience alimentaire – CNRA – Résilience alimentaire

Tam Tam : Tomorrow Rising – Une websérie inspirante !

Tam Tam : Tomorrow Rising – Une websérie inspirante !

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Découvrez les histoires de : Farah, Shirley, Christine, Roswita et Azael – ou l’engagement des jeunes dans la « Transition » à travers le monde

© BKE

La coopérative audiovisuelle BKE dévoile la saison 2 de Tomorrow Rising, une websérie documentaire réalisée pour la Fondation Schneider Electric. Disponible dès le 8 mars, cette nouvelle saison met en avant l’engagement des jeunes dans la « Transition » à travers le monde.

Farah en France, Shirley au Pérou, Christine en Égypte, Roswita en Indonésie et Azael au Mexique incarnent une jeunesse ambitieuse qui transforme l’avenir. Chacun, à sa manière, illustre l’importance d’une mobilisation collective pour un monde plus durable et inclusif.

À travers leurs parcours inspirants, Tomorrow Rising souligne le rôle essentiel des femmes dans la construction d’un futur plus juste et plus écologique. Loin d’être de simples actrices du changement, elles en sont les architectes, repensant nos modèles pour un avenir plus juste et résilient.

Portée par le programme international de la Fondation Schneider Electric, cette saison célèbre celles et ceux qui, dans l’ombre, façonnent un monde plus solidaire.

Découvrez dès maintenant le premier épisode !

Par Nicolas Jalu, Coopérative BKE

Tam-Tam : 2ème édition de la Journée de la Communication Agricole

Tam-Tam : 2ème édition de la Journée de la Communication Agricole

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Le SYRPA consacre sa 2e Journée de la Communication Agricole à la crise
Communicante au SIA

Rendez-vous le jeudi 13 juin pour la seconde édition de la Journée de la Communication Agricole, organisée par le SYRPA.

© SYRPA

Et si la crise agricole actuelle illustrait la nécessaire transition de nos modèles ? Pour mieux la comprendre et tenter d’y apporter des solutions à son niveau, le SYRPA place « L’art d’être communicant en temps de crise agricole » au cœur de la réflexion de sa prochaine Journée de la Communication Agricole.

Communicants du monde agricole et agro-alimentaire, prenez date : la Journée de la Communication Agricole reviendra pour une seconde édition ce jeudi 13 juin ! Pour ce nouveau rendez-vous, le SYRPA continue de s’inscrire dans l’actualité du monde agricole en proposant un événement centré sur « L’art d’être communicant en temps de crise agricole ». L’occasion pour les agri-communicants de décrypter la crise agricole actuelle sous le prisme de la communication, en identifiant les signaux faibles, les réactions et impacts de cette crise.

Tout comme sa première édition, cette Journée de la Communication Agricole se veut éclairée et participative. Une table ronde sur le thème « Paroles de Crise : Communication agricole et décryptage », animée par Sophie Dias (ingénieure agronome et créatrice du podcast Échos de Ferme) et Vincent Prevost (fondateur d’Opinion Valley), éveillera la réflexion au cours de la matinée. Puis, différents experts du secteur viendront partager leurs analyses et expériences, à l’occasion de keynotes participatives tout au long de la journée.

Un événement pour mieux réfléchir et mieux agir : une façon de faire qui résonne forcément du côté de Vibrations communicantes !

Alors pour ne rien manquer de cet événement, inscrivez-vous dès maintenant !

Edito newsletter 6 : Education à l’alimentation, quel levier est-elle pour la transition ?

Edito newsletter 6 : Education à l’alimentation, quel levier est-elle pour la transition ?

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Je suis ce que je mange.

Vibrations Slider NL6

©agence Communicante

Je suis ce que mange.

Mon alimentation est le reflet de qui je suis : ma culture, mon âge, mon activité physique, mes convictions, mes engagements, mais aussi mes croyances, mon état mental et le soin que je me porte à moi-même.

L’alimentation est une composante de nos identités.

Dans la transition climatique, économique, agricole et sociétale qui se joue, l’éducation à l’alimentation tient une place clée, à la fois centrale et socle. Centrale car le comportement alimentaire est un levier individuel et collectif fort pour générer du changement à tous les niveaux. Faire bouger demande de faire bouger l’offre. Et socle, car pour choisir ses habitudes alimentaires en conscience, il faut comprendre. La production agricole, la transformation, la distribution, leurs impacts et leviers économiques et environnementaux, il faut comprendre la nutrition, le fonctionnement physiologique du corps, il faut comprendre la cuisine, les goûts, les cuissons, et bien d’autres savoirs culinaires.

Dans trois semaines se tiendra la 4ème édition des Journées Nationales de l’Agriculture, événement d’ouverture et de partage dédié à l’éducation alimentaire. Des dizaines d’acteurs, agriculteurs, coopératives, PME de l’alimentation, associations, se mobiliseront pour sensibiliser le public à l’importance d’adopter des comportements alimentaires sains et qualitatifs ; pour attiser la curiosité par la découverte de produits nouveaux ou méconnus : pour aider à mieux comprendre le circuit de transformation qui mène du champ à l’assiette ; pour prévenir la néophobie fréquente chez les enfants en leur donnant à voir, toucher et goûter les produits qui sont à la base d’une alimentation équilibrée ; pour éveiller les consciences face aux défis et enjeux du monde agricole, tels que le développement des circuits courts et la préservation de la biodiversité.

Au cours des trois prochaines semaines, à travers le média Vibrations communicantes, nous vous proposons d’explorer, de prendre de la hauteur et de rentrer en résonnance avec les questions liées à l’éducation alimentaire.

Nicolas Chabanne, fondateur de « C’est qui le patron ?! » et parrain de l’événement, partagera son regard sur l’éducation au prix. Amandine Toulza, agricultrice et autrice du blog Terrattitude, témoignera de l’importance de la pédagogie autour de la production et du sens de son métier : nourrir. Pierre Feillet, directeur de recherche émérite à l’INRAE, amènera un regard historique, sociologique et contemporain sur les enjeux de l’éducation alimentaire. Enfin, le podcast « Ondes Immersives » vous révèlera les résultats de la grande consultation « Comment sensibiliser et éduquer nos enfants à mieux manger ? » par le témoignage d’experts et de consommateurs… de tous les âges.

Plongez avec nous au cœur de ces sujets à travers le regard de Vibrations communicantes pour ressentir, partager et (faire) bouger à nos côtés !

Véronique Spaletta et Caroline Chadal, directrices associées de l’agence Communicante

Gilles Maréchal, directeur d’Agridemain

Rémy Leclercq, directeur général de Make.org foundation

Tam-Tam : “Designer” la forme d’un aliment

Tam-Tam : “Designer” la forme d’un aliment

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L’influence de la forme sur l’imaginaire et l’usage projeté d’un produit alimentaire : un atelier proposé par Papillote

Stravito Vibrations communicantes

© Brands People – Unsplash

Dans le cadre d’un événement Valorial intitulé “Les 5 sens comme leviers d’innovation pour l’expérience alimentaire”, Papillote a proposé un focus sur l’importance de la forme d’un aliment dans son expérience de dégustation.

Dans le monde du design alimentaire, chaque courbe, chaque contour d’un produit est une invitation à une expérience sensorielle minutieusement orchestrée. Comme le rappelle l’adage « Form follows function », la forme d’un objet ne doit pas simplement plaire à l’œil, elle doit être le reflet de sa fonction. Ou plutôt, elle doit induire sa fonction. Cette relation d’interdépendance, souvent évoquée dans le design industriel, trouve aussi son expression dans l’univers culinaire.

Pour illustrer ce principe, on peut citer la baguette qui, par rapport à la miche de pain, permet une cuisson plus rapide et une découpe plus simple en tronçons à partager. Cette baguette a même évolué jusque dans sa version “épi” dont les portions sont détachables encore plus facilement à la main. Le rêve pour les fans de quignons qui entament toujours la baguette en sortant de la boulangerie !

L’objectif de cet atelier était donc d’explorer la manière dont la forme d’un produit alimentaire peut devenir un vecteur narratif puissant, quand elle est choisie avec cohérence. Pour ce faire, les participants sont devenus eux-mêmes créateurs en façonnant une forme de pain, tout en projetant la manière dont il serait dégusté spontanément. Lors du tour d’horizon des créations, le groupe a été invité à deviner l’usage et le contexte de consommation de chaque création. Une expérience interactive qui a souligné l’importance de l’impact spontané de la forme sur la perception du produit.

Au cœur de cet après-midi d’ateliers, une conclusion a émergé : nos sens ont cette place prépondérante car ils guident l’expérience de dégustation, influencent la gestuelle et provoquent des émotions, créant ainsi des connexions mémorables entre le mangeur et le produit.

Retour en images sur les temps forts de l’atelier :