Ça bouillonne : Séverine Couvreur, ambassadrice auprès de l’UNESCO, présidente de la commission des viticultrices de Champagne

Ça bouillonne : Séverine Couvreur, ambassadrice auprès de l’UNESCO, présidente de la commission des viticultrices de Champagne

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« Le regard féminin conduit à une meilleure considération des conditions de travail, améliorant ainsi l’attractivité du métier et facilitant le recrutement »

Nouvelles méthodes d'écoute Vibrations communicantes

Séverine Couvreur, ambassadrice auprès de l’UNESCO, présidente de la commission des viticultrices de Champagne

© Commission des viticultrices de Champagne

Les choses bougent en Champagne ! À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, Séverine Couvreur, viticultrice et présidente de la Commission des Viticultrices de Champagne, souligne le rôle crucial des femmes dans les transitions sociétales. En Champagne, les femmes jouent un rôle moteur, notamment en influençant les pratiques viticoles vers plus de santé et de bien-être au travail. Leur perspective contribue à améliorer l’attractivité de la profession et à transformer les considérations environnementales et sociétales dans le secteur.

Séverine Couvreur incarne un « regard féminin » unique et audacieux. En tant que Présidente de la Mission Coteaux, Maisons et Caves de Champagne, elle ose entreprendre différemment pour valoriser les paysages inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO. À la tête de la Commission des Viticultrices du Syndicat Général des Vignerons, elle défend l’œnotourisme et mène des actions innovantes pour la reconnaissance des femmes dans le secteur viticole champenois. Ces initiatives, qui dénotent par leur originalité, font évoluer les mentalités, même dans une région où l’on pourrait croire ces questions déjà résolues.

Avec son mari, elle a lancé la marque de champagne Varicour et fondé l’association 286M pour promouvoir la montagne de Reims. Son engagement s’étend également aux défis environnementaux et au développement durable, démontrant sa capacité à innover et à inspirer le changement.

Le regard féminin, moteur de transition

« Les agriculteurs ont la même activité physique que des athlètes professionnels » témoigne Séverine Couvreur. Cependant, cette réalité est souvent méconnue des principaux intéressés, qui ne réalisent pas toujours l’impact de cette fatigue intense sur leur corps.

Selon elle, il est essentiel de rappeler que le corps reste le premier outil de travail des viticulteurs. « Ils doivent en prendre soin, tant sur le plan physique que psychologique », insiste-t-elle. Dans un secteur où la virilité et les traditions poussent souvent à taire les difficultés, les femmes jouent un rôle clé. Elles accompagnent fréquemment les agriculteurs dans leurs moments de détresse, qu’il s’agisse de burn-out ou de maladies liées à l’activité. « Ce sont elles qui, généralement, sont les plus enclines à réfléchir et à agir pour faire évoluer ces questions », souligne la viticultrice. Pour le secteur agricole, cette prise de conscience représente une avancée complexe, et pourra « conduire à une meilleure considération des conditions de travail, améliorant ainsi l’attractivité du métier et facilitant le recrutement ».

Loin des clichés, une volonté d’aboutir

Au-delà des clichés souvent moqueurs sur l’engagement des femmes, Séverine Couvreur rappelle une réalité : « Le temps dont disposent les femmes est souvent plus restreint que celui des hommes ». En plus de leurs activités professionnelles, elles assument encore majoritairement les tâches familiales, bien que cette situation évolue avec les nouvelles générations. Ainsi, lorsque les femmes s’engagent dans des actions pour faire évoluer leur secteur, elles le font avec une volonté d’aboutir et un sérieux marqué. « Elles consacrent ce temps précieux pour être actives et apporter des réponses concrètes aux problématiques rencontrées », souligne-t-elle. « Leur engagement est synonyme de détermination et de travail rigoureux ».

Une journée symbolique et nécessaire

Le 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, passe souvent inaperçu dans le secteur viticole. Pourtant, cette journée revêt une importance particulière : elle permet de mettre en lumière des exemples inspirants de femmes qui font bouger les lignes. « Montrer que des femmes s’engagent et réussissent dans ce domaine, c’est encourager d’autres femmes à prendre le relais et à oser se lancer », conclut Séverine Couvreur.

*Non Issu du Monde Agricole

Par Antoine Monnier – agence Communicante

En partenariat avec VoxDemeter 

Tam Tam : Le premier guide pour la Résilience Alimentaire, réalisé par le CNRA

Tam Tam : Le premier guide pour la Résilience Alimentaire, réalisé par le CNRA

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Résilience alimentaire : un guide pour tous, un enjeu commun

Communicante au SIA

© CNRA / AFNOR

Face aux défis croissants du climat, de l’économie et des enjeux sociaux, notre système alimentaire est mis à rude épreuve. Pour y faire face, le guide AFNOR SPEC 2301 propose des solutions pratiques et concrètes pour renforcer la résilience alimentaire des territoires. Il s’adresse à tous ceux qui œuvrent pour une alimentation plus durable et locale, qu’il s’agisse des collectivités, des agriculteurs, des entreprises, des associations ou même des citoyens engagés.

Ce guide ne se limite pas à une catégorie d’acteurs : il a été conçu pour accompagner tous ceux qui souhaitent agir, qu’ils soient producteurs, décideurs ou consommateurs. Il offre des méthodes éprouvées et des exemples concrets pour rendre les territoires plus résilients face aux crises alimentaires, en combinant des actions locales et des stratégies de transformation à plus grande échelle.

 

Un travail collectif sans précédent

Fruit de deux ans de travail, ce guide est le résultat d’un effort exceptionnel mené par le CNRA. Hermine Chombart de Lauwe, déléguée générale, partage :

« Beaucoup de joie, énormément de fierté et, soyons honnêtes, un brin d’émotion. Ce guide, c’est plus de 200 contributeurs, des échanges passionnés (et parfois un peu animés 😄), des idées par milliers, 155 bonnes pratiques concrètes et, surtout, une volonté commune : rendre nos territoires plus résilients face aux aléas.« 

L’ampleur du travail est remarquable : rassembler autant de personnes, les mobiliser et aboutir à un consensus malgré des intérêts parfois divergents.

 

Les 5 piliers du guide

1. Protéger les ressources naturelles : eau, sols, biodiversité
La gestion durable de l’eau, des sols, de la biodiversité, des semences et des matières fertilisantes est essentielle pour garantir un système alimentaire résilient. En encourageant une gestion collective et responsable de ces ressources, les territoires réduisent les risques de pénuries et renforcent leur capacité d’adaptation face aux crises.

2. Accompagner la transformation des systèmes agricoles
Des exploitations robustes, attractives et viables sur le long terme sont la clé d’une alimentation durable. Ce guide met en avant des stratégies pour améliorer la transmission des exploitations, favoriser l’installation de nouvelles générations d’agriculteurs, diversifier les productions et assurer une rémunération équitable aux producteurs.

3. Promouvoir l’économie circulaire et les circuits courts
Le bassin de vie, qui regroupe production, transformation, distribution et consommation, est l’échelle clé pour une organisation alimentaire efficace. En renforçant la logistique locale et la coopération entre acteurs du territoire, on favorise un approvisionnement plus sûr et plus solidaire face aux perturbations.

4. Soutenir l’autonomie alimentaire des territoires
En valorisant les déchets alimentaires, en allongeant la durée de vie des produits et en intégrant des principes d’écologie industrielle, les territoires peuvent réduire leur dépendance aux ressources extérieures et mieux absorber les chocs économiques et environnementaux.

5. Encourager la coopération entre acteurs locaux
Un territoire résilient repose sur des diagnostics précis, des solutions adaptées et un cadre de gouvernance structuré. Ce guide propose des outils pour accompagner les collectivités et entreprises dans la mise en place de stratégies durables, en intégrant innovation, financement et responsabilités territoriales.

Bien plus qu’un simple guide, cet ouvrage est une boîte à outils opérationnelle prête à être utilisée par tous avec ces 155 bonnes pratiques illustrées avec des exemples concrets. Comme l’affirme Hermine Chombart de Lauwe :
« Nous avons désormais un document concret qui va enfin pouvoir être mis entre les mains de ceux qui veulent agir.« 

Grâce à l’engagement du CNRA et de ses contributeurs, ce guide ouvre la voie à des territoires plus autonomes, plus durables et mieux préparés aux défis de demain.

Téléchargez gratuitement le guide : Guide de bonnes pratiques AFNOR SPEC pour la résilience alimentaire – CNRA – Résilience alimentaire

En résonance avec Sébastien Abis, chercheur associé à l’IRIS et directeur du Club DEMETER

En résonance avec Sébastien Abis, chercheur associé à l’IRIS et directeur du Club DEMETER

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« Le monde agricole a besoin aussi de leadership féminin »

Sébastien Abis, chercheur associé à l’IRIS et directeur du Club DEMETER, « Le monde agricole a besoin aussi de leadership féminin » © Club Demeter

Sébastien Abis est directeur du Club DEMETER, chercheur associé à l’IRIS depuis 2012, expert en géopolitique. Également enseignant, auteur et chroniqueur, il nous livre un regard aiguisé sur le rôle que les femmes ont à jouer face aux défis à venir.

Dans votre ouvrage « Veut-on nourrir le monde ? Franchir l’Everest alimentaire en 2050.», vous expliquez que le défi de l’humanité est d’assurer la sécurité alimentaire mondiale en préservant les écosystèmes et les ressources.
Qu’est-ce que les femmes vont amener dans la transition agricole et alimentaire en cours ?

Il convient d’abord de prendre conscience du rôle vital joué au quotidien par les femmes, sur tous les continents, pour produire de la nourriture. L’agriculture est le 1er employeur de femmes au monde. Dans les pays en développement, les femmes représentent la moitié de la population active agricole. L’agriculture devrait être par conséquent aussi leur 1er levier d’émancipation.
En outre, de nombreuses femmes, hélas, travaillent dans les champs sans avoir ni statut officiel, ni salaire. Nous pourrions aussi évoquer ces jeunes filles aux champs. Par ailleurs, Les femmes sont toujours sous-représentées dans les enceintes décisionnelles. Elles sont pourtant innovantes pour gérer les ressources, éviter les gaspillages, inventer de nouvelles pratiques. L’entrepreneuriat féminin en agriculture, c’est une force.

Il est important aussi de souligner la responsabilité qu’elles portent du fait de leur fonction maternelle même. L’alimentation des 1000 premiers jours d’un enfant est déterminante pour les 20 000 potentiels à suivre, en moyenne. Dans cette période des premiers jours de la vie, la nutrition s’avère centrale dans la réussite du développement futur de l’enfant. Mal nourri, il aurait alors d’inévitables carences, y compris un coefficient intellectuel limité. Très concrètement, pour élever le niveau d’intelligence humaine demain, faire face à moins de nervosité, à moins d’instabilité dans le monde, il faut bien nourrir les enfants ! Et ce n’est pas seulement l’affaire des mères.
C’est d’ailleurs le sujet du Sommet de la nutrition pour la croissance, « Nutrition for Growth (N4G) » qui se tiendra les 27 et 28 mars 2025 à Paris. L’alimentation des enfants, c’est comme leur éducation : un investissement pour améliorer le futur du monde.

 

Vous parlez d’un entrepreneuriat féminin plus responsable. Pourquoi ?  

Les femmes sont capables d’une vision long terme car elles visent souvent davantage des objectifs communs que personnels. Elles gèrent aussi plus facilement le collectif : réfléchir, innover, faire, se projeter ensemble.
La capacité féminine à accepter une diversité de points de vue facilite le fait de se projeter dans des changements à faire sans que cela génère de la peur. Elles ont tendance à être davantage multitâches et polyvalentes, à être rompues à l’instabilité et aux transitions à mener. Autant de caractéristiques, pour trop schématiques évidemment, mais qui font écho à la situation contemporaine d’un monde en pleine transformation.

Leur manière de gérer est sans doute plus adaptée aux défis de l’humanité que ne l’est la géopolitique d’aujourd’hui, que je qualifie comme le temps des hippopotames : les relations internationales et sociales sont féroces, véloces et polygames, pour traduire la nouvelle « multipolarité ». Les relations se durcissent, les révolutions s’accélèrent, les frustrations s’accumulent. On ne sait plus faire le tri, c’est l’émotionnel ou la colère qui prime.

Et pourtant, face au défi alimentaire qui est dressé devant nous, les aptitudes féminines sont nécessaires. Je prône une « souveraineté solidaire », qu’elle soit locale ou internationale, plutôt qu’une souveraineté solitaire.
Les solutions viendront de l’entraide, l’interdépendance, le décloisonnement, la cohérence sociétale, la confiance dans le temps long.

  

Et en France, où en sommes-nous ? 

Sur notre territoire, on se félicite d’avoir 25 % d’agricultrices parmi les exploitants. C’était 8 % dans la décennie 1970. Cependant, la population agricole diminuant, il n’y a pas beaucoup plus d’agricultrices qu’avant. En revanche, plus sont cheffes d’exploitation, c’est cela la différence.
Le secteur agricole reste néanmoins en retard sur la parité dans la représentation agricole.
Les femmes qui sont présentes dans des postes à responsabilité dans les instances ou les entreprises sont souvent cantonnées à la communication, aux affaires publiques ou à la RSE. Peu de femmes sont présidentes ou directrices. C’est un défi pour les prochaines années de savoir faire émerger du leadership féminin dans le monde agricole et agro-alimentaire en France. Face aux défis colossaux devant nous, nous devons faire preuve de beaucoup de modestie et d’esprit collectif. Les femmes sont donc d’autant plus nécessaires !

 

Propos recueillis par Véronique Spaletta et Caroline Chadal, Agence Communicante

En partenariat avec VoxDemeter 

Edito newsletter 8 : La transition, avec ELLES !

Edito newsletter 8 : La transition, avec ELLES !

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Pourquoi la contribution des femmes est-elle indispensable à la transition agricole et alimentaire ?

Vibrations Slider NL6

©agence Communicante

Anne Dumonnet-Leca, fondatrice et présidente de Vox Demeter
Véronique Spaletta et Caroline Chadal, directrices associées de l’agence Communicante

Journée des Femmes, Journée des droits de la femme, quel que soit son nom, cette journée embarrasse ! Les entreprises y voient l’occasion de mettre en valeur leur politique d’inclusion, sans pour autant être suivie d’effet pour les intéressées les 364 autres jours de l’année. Plutôt timidement, le monde agricole quant à lui, célèbre le plus souvent « ses » femmes par des portraits, des conférences, ce jour-là !
Justement, les femmes du monde agricole, que pensent-elles de cette très communicante journée du 8 mars ? Peu sont à l’aise avec le concept. Dans un secteur où leur invisibilité est encore « visible », il leur semble un peu dérisoire – quoique flatteur – de voir autant d’interviews et de posts sur les agricultrices ! Pour autant, cette journée doit s’inscrire dans une réflexion plus globale de la place que les femmes souhaitent elles-mêmes occuper. Il appartient à chacune d’apporter sa pierre à l’édifice pour faire évoluer son environnement culturel, quand celui-ci ne permet pas de prendre en compte suffisamment les contributions féminines.

Mais fondamentalement, pourquoi est-il nécessaire de faire plus de place aux femmes ? Est-ce uniquement une question d’équité sociale ? Le monde agricole possède le privilège de devoir se transformer pour mieux s’adapter aux défis protéiformes qui le bouleversent. Or, les femmes pensent, décident, agissent différemment du fonctionnement établi, et nous sommes dans ce moment où il devient urgent d’inventer des modèles différents de dialogue, de réflexion, de décision, d’embarquement, de leadership, de déploiement. Faire plus de place à la manière de penser des femmes, à la manière de décider des femmes, à la manière d’agir des femmes c’est se donner la chance de déployer des valeurs nouvelles pour faire face aux défis de notre temps : du sens, de l’intégrité et de la résilience. C’est, pour l’agriculture, se donner des leviers supplémentaires pour réussir ses nombreuses mutations : environnementales, agronomiques, organisationnelles et sociétales.

Chez Communicante, nous avons cette conviction que la transition agricole, alimentaire, et sociétale, se fera aussi en intégrant les qualités du féminin dans les organisations et les systèmes. Combiner puissance ET douceur, distance ET sensibilité, affirmation de soi ET inclusion. C’est pour cela que nous choisissons de porter le message de Vox Demeter à travers une nouvelle éditions de Vibrations communicantes que vous découvrirez tout au long de ce mois de mars.

Chère lectrice, cher lecteur, soyez donc les bienvenus dans cette 8ème exploration de Vibrations communicantes ! Sébastien Abis, directeur du Club Demeter, Séverine Couvreur, viticultrice et Présidente de la Mission Coteaux, Maisons et Caves de Champagne-Patrimoine mondial et Anne-Sophie Delassus, éleveuse et Présidente de la région Nord de la coopérative Soodial : ces trois interviews viendront éclairer nos réflexions et illustrer la manière dont les femmes contribuent à la transition.
Nous vous souhaitons une belle lecture, et de belles rencontres.

 

Anne Dumonnet-Leca, fondatrice et présidente de Vox Demeter

Véronique Spaletta et Caroline Chadal, directrices associées de l’agence Communicante

 

Communicante et Agrilys vous donnent rendez-vous au Sommet de l’Élevage

Communicante et Agrilys vous donnent rendez-vous au Sommet de l’Élevage

Sommet de l’Élevage : « La Guinguette : Business et Rillettes » fait son grand retour !

Pour la troisième année consécutive, les agences Agrilys et Communicante se retrouvent pour vous accueillir sur leur stand commun « La Guinguette : Business et Rillettes », à l’occasion du Sommet de l’Élevage. Sur un stand de 24 m², rencontres professionnelles et convivialité seront à l’honneur.

Fidèle au Hall 1, « La Guinguette » est d’abord un concept innovant de « working place de village ». Un véritable espace où vous pourrez vous poser autour de notre grande table ou dans notre coin salon, pour échanger, travailler ou simplement prendre un café.

Si nous ne nous connaissons pas encore, ce sera l’occasion parfaite de rencontrer les équipes de nos agences Agrilys et Communicante et discuter de vos projets et actualités !

Depuis plus de 10 ans, Agrilys et Communicante collaborent autour d’une promesse commune visant à accompagner les stratégies des acteurs du monde agricole. Chacune à leur manière et conjointement, nos agences mêlent coaching, facilitation et réflexion stratégique. Une synergie déjà éprouvée (et approuvée !) par nos clients communs, qui sera au cœur de notre stand, avec pour objectif de créer des connexions enrichissantes.

Impossible d’évoquer « La Guinguette » sans mentionner son esprit convivial, si cher à Agrilys et Communicante ! Venez déconnecter tout en vous connectant aux autres, et créer de nouvelles synergies.

Le petit plus : laissez-nous une trace de votre passage grâce à notre espace photobooth !

Retrouvez-nous du 1 au 4 octobre, sur notre stand du Sommet de l’Elevage, Hall 1 – Stand E136 !

Une nouvelle identité visuelle pour la nouvelle formule du magazine Entraid

Une nouvelle identité visuelle pour la nouvelle formule du magazine Entraid

Nouvele identité visuelle d'entraid médias, avec leur nouveau logo.

À l’occasion de son 50ème anniversaire, l’identité visuelle d’Entraid fait peau neuve avec une nouvelle formule. L’agence Communicante a accompagné la réflexion et la maturation du positionnement, aboutissant ainsi à la création d’une nouvelle identité visuelle. Nous avons réalisé la création graphique des nouveaux logos Entraid ainsi qu’un travail sur les baselines.

Entraid Médias aspire à incarner son histoire, ses valeurs et ses nouvelles ambitions. Et cela passe par une phase de réflexion stratégique dans le but de définir les baselines qui incarneront l’esprit des marques Entraid. Adieu, le magazine des Cuma, les nouvelles baselines laissent la place au collectif et au partage de l’agriculture. En quelques mots : faire le lien entre les agriculteurs !

Pour la réalisation de cette nouvelle identité visuelle, l’agence Communicante a su écouter, proposer, challenger et re-challenger différentes propositions. Le but de cet exercice est de répondre à plusieurs enjeux :

  • Saisir l’essence de la marque et le traduire visuellement
  • Apporter de l’originalité et de la différenciation tout en restant cohérent et pragmatique
  • Donner une harmonie entre chaque identité visuelle du groupe pour une reconnaissance instantanée
  • Accompagner une évolution vers les nouvelles ambitions des médias

Pour cette collaboration, l’équipe de Communicante a su retranscrire les aspirations de l’équipe projet Entraid tout en donnant les moyens d’incarner cette nouvelle identité et d’en être fière.