À l’occasion de son 50ème anniversaire, l’identité visuelle d’Entraid fait peau neuve avec une nouvelle formule. L’agence Communicante a accompagné la réflexion et la maturation du positionnement, aboutissant ainsi à la création d’une nouvelle identité visuelle. Nous avons réalisé la création graphique des nouveaux logos Entraid ainsi qu’un travail sur les baselines.
RENDRE éVIDENTE LA PERSONNALITé ENTRAID
Entraid Médias aspire à incarner son histoire, ses valeurs et ses nouvelles ambitions. Et cela passe par une phase de réflexion stratégique dans le but de définir les baselines qui incarneront l’esprit des marques Entraid. Adieu, le magazine des Cuma, les nouvelles baselines laissent la place au collectif et au partage de l’agriculture. En quelques mots : faire le lien entre les agriculteurs !
CRéATIVITé ET PROJECTION VERS UNE NOUVELLE IDENTITé VISUELLE
Pour la réalisation de cette nouvelle identité visuelle, l’agence Communicante a su écouter, proposer, challenger et re-challenger différentes propositions. Le but de cet exercice est de répondre à plusieurs enjeux :
Saisir l’essence de la marque et le traduire visuellement
Apporter de l’originalité et de la différenciation tout en restant cohérent et pragmatique
Donner une harmonie entre chaque identité visuelle du groupe pour une reconnaissance instantanée
Accompagner une évolution vers les nouvelles ambitions des médias
Pour cette collaboration, l’équipe de Communicante a su retranscrire les aspirations de l’équipe projet Entraid tout en donnant les moyens d’incarner cette nouvelle identité et d’en être fière.
L’AGENCE COMMUNICANTE FÊTE SES 10 ANS AVEC UN LEITMOTIV : FAIRE DE LA COMMUNICATION UN ACCÉLÉRATEUR DE LA TRANSITION
Transition agroenvironnementale, énergétique, sociétale : l’agence Communicante agit au cœur de l’écosystème agricole et alimentaire.
En élargissant son prisme d’intervention, elle montre que la communication est un point d’entrée stratégique pour permettre aux entreprises et aux organisations de se transformer.
10 ans, c’est un cap et c’est aussi l’occasion de revendiquer sa maturité, de réaffirmer son positionnement singulier d’agence de conseil et d’accompagnement dans le secteur agricole et alimentaire.
INSPIRER, AVEC VIBRATIONS COMMUNICANTES
L’agence Communicante questionne la responsabilité de la communication dans la transition agricole, alimentaire, environnementale et sociétale. Elle partage ses explorations à travers la newsletter et le podcast Vibrations communicantes lancés début 2023, qui viennent inspirer et nourrir les réflexions de l’écosystème dirigeant et communicant du secteur agricole et alimentaire.
Terrain de jeu formidable pour analyser, découvrir, être à l’écoute de la société et croiser les regards, les 6 premières éditions de Vibrations communicantes ont traité de la posture du communicant en période de transition, des nouvelles techniques d’écoute, de l’engagement des chefs cuisiniers, du OneHealth, de l’art dans la transition et de l’éducation alimentaire.
ACCOMPAGNER LES FEMMES ET LES HOMMES
« La communication en période de transition, qui vise à faire bouger, doit forcément être vécue de l’intérieur et incarnée par ceux qui la portent. Pour cette raison, nous accompagnons individuellement ou collectivement des dirigeants d’entreprise et des conseils d’administration, pour créer des socles de vision puissants, avant même de parler de stratégie de communication. C’est la force de notre démarche et c’est ce qui nous distingue clairement aujourd’hui. » affirment Véronique Spaletta et Caroline Chadal, codirigeantes de l’agence.
En introduisant des méthodes de coaching et de facilitation, le travail de la profondeur humaine par l’agence Communicante amène sens, précision, solidité et impact aux entreprises et à leur démarche de communication.
10 ANS, 11 NOUVEAUX CLIENTS EN 2024 ET UN PÔLE RP FORT
Communicante a toujours une activité d’agence de communication forte et a remporté 11 nouveaux projets et clients depuis le début de l’année 2024 :
Stratégie de communication : APL Bio, Association Charolais Label Rouge, BPCE, CalyWattSol, Unell
10 ans, c’est aussi l’occasion de saluer les clients qui lui font confiance avec une fidélité allant jusqu’à 6 ans de collaboration : ADIVALOR, Adama, Agrauxine, Agrilys, APBO, CNIEL, CNIPT, La Ferme Digitale, la Fédération des CUMA, …
Elle renforce par ailleurs son pôle relations presse avec le recrutement d’un responsable du pôle relations presse, Antoine Monnier et un recrutement en cours de consultant RP.
En allant travailler au cœur de ce qui fait la transition et en accompagnant les personnes, Communicante occupe pleinement son positionnement d’agence de conseil et d’accompagnement des nouveaux modèles agricoles et alimentaires.
A propos de l’agence Communicante
Communicante se positionne comme l’agence conseil des nouveaux modèles agricoles et alimentaires. Fondée en 2014 par Véronique Spaletta et co-dirigée par Caroline Chadal, elle installe l’accompagnement des communicants, des dirigeants et de la stratégie comme levier fort de l’impact des démarches de communication.
110 clients accompagnés et 11 collaborateurs basés entre Nantes, Rennes et Paris.
Et si la crise agricole actuelle illustrait la nécessaire transition de nos modèles ? Pour mieux la comprendre et tenter d’y apporter des solutions à son niveau, le SYRPA place « L’art d’être communicant en temps de crise agricole » au cœur de la réflexion de sa prochaine Journée de la Communication Agricole.
Communicants du monde agricole et agro-alimentaire, prenez date : la Journée de la Communication Agricole reviendra pour une seconde édition ce jeudi 13 juin ! Pour ce nouveau rendez-vous, le SYRPA continue de s’inscrire dans l’actualité du monde agricole en proposant un événement centré sur « L’art d’être communicant en temps de crise agricole ». L’occasion pour les agri-communicants de décrypter la crise agricole actuelle sous le prisme de la communication, en identifiant les signaux faibles, les réactions et impacts de cette crise.
Tout comme sa première édition, cette Journée de la Communication Agricole se veut éclairée et participative. Une table ronde sur le thème « Paroles de Crise : Communication agricole et décryptage », animée par Sophie Dias (ingénieure agronome et créatrice du podcast Échos de Ferme) et Vincent Prevost (fondateur d’Opinion Valley), éveillera la réflexion au cours de la matinée. Puis, différents experts du secteur viendront partager leurs analyses et expériences, à l’occasion de keynotes participatives tout au long de la journée.
Un événement pour mieux réfléchir et mieux agir : une façon de faire qui résonne forcément du côté de Vibrations communicantes !
En résonance avec :
Nicolas Chabanne, « C’est qui le Patron ?! »
Nicola Chabanne, fondateur de « C’est qui le Patron ?! »
« Informer le consommateur sur la répartition de la valeur va transformer sa relation à l’alimentation. » Nicolas Chabanne.
.La 4ème édition des Journées Nationales de l’Agriculture (JNA) porte une symbolique particulière : le choix de son parrain. Ce ne sont pas des figures emblématiques, mais bien 68 millions de consommateurs français qui soutiennent cet événement, à travers la démarche « C’est qui le Patron ?! » dont Nicolas Chabanne est le porte-parole.
Pendant 3 jours, partout en France, exploitations agricoles, entreprises agroalimentaires et agrofournisseurs ouvriront leurs portes au public. Les Journées Nationales de l’Agriculture offrent de véritables moments d’échanges entre les professionnels et les consommateurs. L’édition 2024 mettra en lumière l’éducation alimentaire. Peut-on sensibiliser le consommateur au juste prix des produits agricoles ? C’est la question que nous avons posée à Nicolas Chabanne.
Tout d’abord, je m’exprime ici en porte-parole de nous tous consommateur. La démarche « C’est qui le Patron ?! » est une aventure collective. Pas de business ! Contrairement aux entreprises et labels, nous ne faisons pas une initiative pour les consommateurs (répondre à un besoin identifié) mais bien au bénéfice et au service des agriculteurs. Tout l’argent gagné revient aux agriculteurs. Nous, consommateurs, nous concevons des produits avec et pour les producteurs qui recevront une juste rémunération pour leur travail.
La thématique des JNA est l’éducation à l’alimentation. Quel est votre regard sur ce sujet ?
C’est une notion essentielle pour nous reconnecter au monde agricole. Prenons un peu de hauteur sur le monde qui nous entoure. L’humanité a besoin de se nourrir pour vivre. Dans cet écosystème, ce sont les agriculteurs qui produisent cette nourriture vitale. Il est donc crucial de préserver ces agriculteurs pour garantir la pérennité de l’humanité. Cependant, les agriculteurs sont aujourd’hui confrontés à de multiples difficultés : rémunération insuffisante, manque de congés et de visibilité sur le long terme…
Au-delà de la simple compréhension du processus de production alimentaire, il est impératif de se familiariser avec la vie quotidienne des agriculteurs. Plaçons les hommes et les femmes qui façonnent l’agriculture au centre de l’éducation alimentaire. Expliquons comment les agriculteurs produisent les aliments, à quoi ressemblent leurs vies au quotidien, quelles sont les contraintes qu’ils rencontrent… Même un 25 décembre, tous les éleveurs laitiers se lèvent à 5 heures du matin pour assurer la traite de leurs vaches. C’est important que le consommateur ait connaissance de la réalité des aliments qu’il a dans son assiette.
Comment « C’est qui le Patron ?! » sensibilise le consommateur au juste prix des aliments ?
Le succès de l’initiative « C’est qui le Patron ?! » repose sur une question posée à tous les consommateurs : « Suis-je prêt à ajouter 4 € de plus par an pour protéger ceux qui nous nourrissent ? ». Pour cela, la transparence est une nécessité absolue. Informer le consommateur sur la répartition de la valeur va transformer sa relation à l’alimentation. Chaque achat fait du consommateur le « parrain » d’un agriculteur. Il est essentiel de donner de la valeur aux personnes qui travaillent toute l’année pour nourrir la population.
Ainsi « C’est qui le Patron ?! » est un mouvement puissant où chaque consommateur devient un acteur clé dans la rémunération et la valorisation du travail des agriculteurs. Ce mouvement est ancré dans la transparence et la solidarité. Il est précurseur d’un avenir où la juste rémunération des agriculteurs est une priorité partagée par tous.
L’éducation alimentaire ne se résume donc pas à apprendre à composer notre assiette mais bien d’aller à la rencontre des femmes et des hommes qui produisent notre alimentation et de s’assurer de leur revenu.
Mon alimentation est le reflet de qui je suis : ma culture, mon âge, mon activité physique, mes convictions, mes engagements, mais aussi mes croyances, mon état mental et le soin que je me porte à moi-même.
L’alimentation est une composante de nos identités.
Dans la transition climatique, économique, agricole et sociétale qui se joue, l’éducation à l’alimentation tient une place clée, à la fois centrale et socle. Centrale car le comportement alimentaire est un levier individuel et collectif fort pour générer du changement à tous les niveaux. Faire bouger demande de faire bouger l’offre. Et socle, car pour choisir ses habitudes alimentaires en conscience, il faut comprendre. La production agricole, la transformation, la distribution, leurs impacts et leviers économiques et environnementaux, il faut comprendre la nutrition, le fonctionnement physiologique du corps, il faut comprendre la cuisine, les goûts, les cuissons, et bien d’autres savoirs culinaires.
Dans trois semaines se tiendra la 4ème édition des Journées Nationales de l’Agriculture, événement d’ouverture et de partage dédié à l’éducation alimentaire. Des dizaines d’acteurs, agriculteurs, coopératives, PME de l’alimentation, associations, se mobiliseront pour sensibiliser le public à l’importance d’adopter des comportements alimentaires sains et qualitatifs ; pour attiser la curiosité par la découverte de produits nouveaux ou méconnus : pour aider à mieux comprendre le circuit de transformation qui mène du champ à l’assiette ; pour prévenir la néophobie fréquente chez les enfants en leur donnant à voir, toucher et goûter les produits qui sont à la base d’une alimentation équilibrée ; pour éveiller les consciences face aux défis et enjeux du monde agricole, tels que le développement des circuits courts et la préservation de la biodiversité.
Au cours des trois prochaines semaines, à travers le média Vibrations communicantes, nous vous proposons d’explorer, de prendre de la hauteur et de rentrer en résonnance avec les questions liées à l’éducation alimentaire.
Nicolas Chabanne, fondateur de « C’est qui le patron ?! » et parrain de l’événement, partagera son regard sur l’éducation au prix. Amandine Toulza, agricultrice et autrice du blog Terrattitude, témoignera de l’importance de la pédagogie autour de la production et du sens de son métier : nourrir. Pierre Feillet, directeur de recherche émérite à l’INRAE, amènera un regard historique, sociologique et contemporain sur les enjeux de l’éducation alimentaire. Enfin, le podcast « Ondes Immersives » vous révèlera les résultats de la grande consultation « Comment sensibiliser et éduquer nos enfants à mieux manger ? » par le témoignage d’experts et de consommateurs… de tous les âges.
Plongez avec nous au cœur de ces sujets à travers le regard de Vibrations communicantes pour ressentir, partager et (faire) bouger à nos côtés !
Pour devenir le premier département à atteindre la neutralité carbone, le Département de la Mayenne a misé sur la préservation et le développement du bocage. L’agence Communicante l’accompagne dans la réflexion et la construction de cette démarche.
Être le premier département à atteindre la neutralité carbone
Le Département de la Mayenne aspire à devenir pionnier en neutralité carbone. Et cela passe notamment par la préservation et le développement de ses haies bocagères. Pour cela, le département a la volonté de rassembler tous les acteurs du bocage pour construire une démarche réaliste et durable.
Une première étape de réflexion commune, qui vise à proposer des messages capables de modifier les comportements des publics cibles en faveur de la pérennité du bocage.
La facilitation pour partager une vision collective entre différents acteurs du territoire
Pour atteindre cet objectif, les facilitatrices1de l’agence ont construit une méthodologie de travail pour impliquer tous les partenaires dans cette démarche de réflexion. Le but de ce dispositif de réflexion est de prendre en compte le point de vue de chacun, et que chacun puisse comprendre la vision des autres.
La facilitation permet de prendre en compte les avis des participants afin d’atteindre une vision commune et partagée de tous.
Au cours de ces réunions de groupe, Joëlle a ainsi eu recours à des méthodes de facilitation, déployées dans un cadre favorable et optimal pour le déploiement de l’intelligence collective. Les intervenants étaient ainsi libres d’exprimer leurs avis, tout en écoutant ceux des autres. Ces échanges constructifs visant à faire avancer la réflexion vers un but commun. Le rôle de la facilitatrice est alors clé pour cadrer le débat et veiller au bon déroulement de ces rassemblements. La facilitation passe aussi par des outils qui favorisent la parole et l’ouverture : dessin, travail de groupe, échange collectif, mise en commun… Le tout minuté pour atteindre l’objectif dans le temps imparti.
Chaque séance de facilitation est articulée autour de différents ateliers permettant de faire émerger les visions individuelles qui serviront la réflexion collective.
En parallèle, Joëlle a mené une phase d’écoute auprès des acteurs du bocage (agriculteurs, citoyens, élus, …) pour comprendre leur perception du bocage mayennais. L’objectif de ces entretiens qualitatifs étaient de pouvoir construire in fine des messages qui incluent la perception de toutes les cibles.
Enfin, un travail de synthèse des données a été nécessaire pour poser les fondements des messages de communication. Un travail qui a également permis de partager toutes les connaissances acquises, à l’ensemble des acteurs du projet.
Un temps de restitution et de partage collectif est nécessaire pour comprendre les avis de chacun.
En collaboration avec l’équipe de Communicante, le Département de la Mayenne a non seulement renforcé la dynamique de groupe autour de cette ambition de neutralité carbone, mais a également établi une base solide pour la création de messages de communication, qui serviront aux campagnes de promotion du bocage.