On frissonne pour : le MOOC Art et écologie

On frissonne pour : le MOOC Art et écologie

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MOOC Art et Ecologie : une formation en ligne pour découvrir les différentes pratiques écologiques à l’œuvre chez les artistes, de 1960 à nos jours

 

Stravito Vibrations communicantes

MOOC Art et écologie : une formation en ligne proposée par le centre Pompidou.

© Centre Pompidou

Parce que la crise climatique et la transition écologique font désormais partie des enjeux les plus cruciaux de nos sociétés, nous vous proposons d’explorer le sujet de l’écologie dans l’art, à travers le MOOC proposé par le Centre Pompidou.

Un parcours thématique présentant les différentes pratiques écologiques des artistes, de 1960 à nos jours.

A chaque cours une thématique différente. Le premier introduit le sentiment de Nature à l’art écologique (du 19 ᵉ siècle à 1945). Le deuxième, sur l’art du déchet aborde la pratique de récupération et de recyclage. Viennent ensuite l’art de la nature, l’art activiste, pour comprendre comment les artistes ont éveillé nos consciences sur les dérives et les abus de la société industrielle, et l’art du vivant : la biotechnologie, pour examiner les pistes d’amélioration vers une véritable transition écologique.

Nous apprécions particulièrement la diversité des points de vue. Le programme enseigné par des experts, des artistes et des invités est ponctué de quiz, de vidéos et d’activités ludiques pour faire bénéficier les participants d’une approche multiple sur l’art moderne et contemporain avec une vision sur notre monde actuel. À la fin de chaque séquence, un quiz noté est proposé pour vérifier les connaissances que vous avez acquises pendant le cours. C’est très encourageant !

Le petit plus : le module est gratuit et ouvert à toutes et à tous sans prérequis. Disponibles du 1er janvier 2023 au 31 décembre 2023.

 

Inscrivez-vous au MOOC Art et écologie !

 

La campagne institutionnelle CUMA créée par Communicante gagne le prix Coop Com de CB News et de La Coopération Agricole

La campagne institutionnelle CUMA créée par Communicante gagne le prix Coop Com de CB News et de La Coopération Agricole

La campagne institutionnelle CUMA créée par l’agence Communicante gagne le prix Coop Com de CB News et de La Coopération Agricole
© Communicante

Ce 7 juin, la campagne de communication que nous avons créée pour la Fédération Nationale des CUMA a été récompensée par le prix Coop Com !

Ce prix organisé par CB News et La Coopération Agricole met en lumière les initiatives les plus créatives, les plus innovantes, les plus pertinentes menées par les coopératives agricoles et agroalimentaires.

La campagne de communication a séduit les jurés par sa stratégie décalée et inédite dans ce réseau, qui vise sans détour à casser les idées reçues sur les CUMA.

Les 5 visuels sont le fruit d’un accompagnement stratégique que l’agence Communicante a mené pendant près de 4 années auprès des CUMA. Le défi ayant été d’emmener l’ensemble du réseau dans une démarche de communication audacieuse.

En commençant par un tour de France des fédérations régionales pour nourrir la réflexion par le terrain, la phase d’écoute a permis de comprendre la perception de la communication dans le réseau et de mesurer le besoin et l’envie de renouveler l’image des CUMA, qui s’est avérée être très forte !

S’en est suivi un travail de sensibilisation / pédagogie de la communication et la création d’une stratégie globale en collaboration avec de nombreux élus, dont sont issus la nouvelle identité CUMA et la campagne « Changez de point de vue sur les CUMA ».

S’attaquer aux idées reçues

Un travail d’identification des idées reçues et de ressources chiffrées sur les CUMA a permis de dégager 5 clichés à faire évoluer dans la perception des jeunes agriculteurs et des agriculteurs non adhérents :

  • Economique : Les Cuma permettent de réaliser jusqu’à 20% d’économies avec le partage de matériel et limitent l’endettement.
  • Age des adhérents : En facilitant les transmissions d’exploitations et les installations de jeunes agriculteurs, les Cuma contribuent au renouvellement des générations agricoles.
  • Qualité des équipements : Proposer du matériel dernière génération, des outils innovants et des technologies dernier cri, facilite le travail quotidien tout en gagnant en productivité.
  • Entraide : L’organisation collective permet de mettre en place des solutions humaines, solidaires, matérielles et techniques, essentielles au développement des exploitations.
  • Globalité de services : La mutualisation des ressources, mais aussi des emplois et des innovations permet de proposer des services et un réseau de compétences réellement adaptés aux besoins des exploitants.

Un grand merci aux élus et communicants des CUMA pour leur confiance.

Pour découvrir le cas client, c’est par ici !

Par Véronique Spaletta, agence Communicante.

#JOB : Consultant.e senior Relations Presse et production de contenus

#JOB : Consultant.e senior Relations Presse et production de contenus

Rejoignez l’agence Communicante dans un poste au cœur de la transition agricole et alimentaire
L’agence Communicante est au cœur de l’écosystème agricole et alimentaire. En lien avec les producteurs, interprofessions, institutions et agrofournisseurs, nous traitons des sujets allant des techniques agricoles aux modèles de consommation et leurs domaines périphériques : énergie, environnement, innovation, économie. Notre expertise agri/agro est appréciée notamment pour conseiller, élaborer et piloter la communication globale de nos clients, gérer leur image, concevoir leurs marques et lancer leurs produits.

Agence indépendante créée il y a 9 ans, Communicante représente une équipe de 10 personnes, répartie entre Paris et la région nantaise. Elle allie les expertises agricoles et alimentaires avec les compétences de communication.

Notre expertise relations presse et rédactionnelle est reconnue et prend de l’ampleur !

Votre mission

En lien direct avec la directrice associée – responsable RP basée à Paris et en synergie avec l’ensemble des projets agence et de l’équipe, vous assurez le conseil, le déploiement des campagnes RP et la rédaction d’outils pour le compte de clients, marques et entreprises.

Vous assurez ces missions dans une perspective de management du pôle RP dès que vos aptitudes en relations presse et management auront été confirmées.

Plus largement, vous :

  • Assurez une activité de conseil, la définition de stratégies RP, la réponse à des appels d’offre
  • Gérez des campagnes RP en toute autonomie : suivi opérationnel, contacts médias, reporting et mise en place d’outils de mesure
  • Produisez des contenus à haute valeur ajoutée et participez à des projets éditoriaux : rapports d’activité, newsletters, dossiers thématiques, média de l’agence “Vibrations” etc.
  • Tout au long de l’année, vous créez et faites vivre nos liens avec les journalistes

Votre profil

  • Formation Bac +4/5 de formation communication, relations presse, journaliste ou ingénieur agri/agro ou école de commerce avec parcours communication / relations presse
  • 6 à 7 ans d’expérience en agence ou chez l’annonceur
  • Anglais, bonne compréhension au minimum

Vos compétences

  • Plume précise, sans faute avec un style d’écriture à adopter si nécessaire
  • Maîtrise des outils bureautiques, outils de diffusion type MailChimp, veille presse et base de données presse (Cision…), outils de mapping
  • Sensibilité à l’univers RP et web
  • La connaissance du secteur agricole et alimentaire est un plus !

Aptitudes attendues

  • Lead dans la conduite de rendez-vous et de réunions
  • Aisance relationnelle avec les journalistes et capacité à décrocher des rendez-vous, à pitcher
  • Cadrage des demandes client et d’expression claire de ses propres besoins (validations, délais…)
  • Rigueur, capacité d’organisation, d’anticipation et de gestion globale
  • Partage des valeurs de l’agence : authenticité, épanouissement, confiance, énergie

Conditions du poste

  • CDI à partir de septembre 2023
  • Bureau situé à Rueil-Malmaison (à la sortie du RER A), possibilité 2 jours / semaine en home-office
  • Déplacements ponctuels (clients, salons, etc.) France entière, avec régulièrement le grand-ouest et la région parisienne.
  • Prise en charge du pass Navigo à hauteur de 50 %
  • Rémunération selon expérience

Candidature

Envoyez votre CV et tout document qui soutiendra votre candidature (recommandation, écrits, book ou autres selon votre imagination) à Caroline Chadal caroline.chadal@communicante.fr dès que possible.

Si ces éléments retiennent notre attention, nous organiserons un entretien oral pour évaluer votre motivation : soyez convaincant, créatif, partagez-nous vos expériences et envies !

Les entretiens se tiendront à Paris courant juillet et fin août 2023.


www.communicante.fr

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Agence Communicante
4, Le Boismain 44590 Derval

Tél. : 02 40 81 80 74

Edito newsletter #3

Edito newsletter #3

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Ouvrez grand vos oreilles !

 Véronique Spaletta et Caroline Chadal

© agence Communicante

A l’origine et au cœur des démarches de communication et de marketing se trouve l’écoute. Les consommateurs et citoyens sont largement sollicités pour participer à des ateliers, workshops ou autres focus groupes. Mais l’évolution des technologies, l’urgence des crises et le développement de la pro-activité citoyenne font émerger de nouvelles manières d’écouter.

Pour cette troisième édition de Vibrations communicantes, nous nous sommes posés la question : « Comment écoute-t-on aujourd’hui ? »

Quelles sont les ouvertures possibles permises par la Tech ? Quelles en sont les limites ? Les méthodes classiques et l’intelligence humaine ont-elles encore leur place dans l’analyse des comportements ? Avec Cindy Lombart, professeur de marketing passionnée de nouvelles technologies, nous vous proposons d’ouvrir grand vos oreilles. Lors de ses cours, ses étudiants s’initient à la réalité virtuelle comme outil d’étude des comportements de consommation responsable.

Ecouter dans ce contexte de transitions multiples, comment est-il possible de savoir jusqu’où nos civilisations seront obligées de s’adapter ? Christian Clot, chercheur et écrivain, explore notre monde depuis plus de vingt ans, à la rencontre des milieux extrêmes et des humains qui les peuplent. Dans notre grande interview, il se livre sur sa vision de la capacité des populations à évoluer.

Et notre monde agricole et alimentaire, où en est-il ? Comment intègre-t-il ces nouvelles méthodes et prend-il la responsabilité de ce qu’il entend ? La parole est donnée à des chercheurs de l’Inrae, qui font résonner les méthodes participatives dans leurs travaux sur le bien-être animal ; et à François Cassignol, communicant et vice-président du Syrpa, sur la question « L’agriculture sait-elle écouter ? » au regard des dernières campagnes marquantes du secteur.

Quelles sont les nouvelles méthodes d’écoute ? Quelles qualités sont nécessaires pour écouter ? Et quels sont les garde-fous pour ne pas instrumentaliser la participation ? Les designers Lucie Bolzec, Elise Huneau de l’agence Papillote et Marie-Julie Catoir-Brisson, professeure associée à Audencia Sciences Com nous partagent à la fois leur regard sur les bonnes pratiques d’écoute et sur des cas très concrets d’ateliers collaboratifs.

Écouter s’apprend, nécessite un vrai savoir-faire, se travaille sur du temps long, avec au cœur toujours, l’humain et toute sa complexité, les individus et toutes leurs histoires.

Ecouter, c’est aussi une question de posture : être disponible, sans a priori et sans projet tout tracé, laisser le champ des possibles ouvert, faire preuve d’empathie, d’intégration voire de métabolisation des préoccupations et des enjeux des parties prenantes.

Écouter, c’est enfin une question de responsabilité : dès lors que l’on écoute, il faut savoir prendre en compte ce que l’on nous livre.

 

Alors, nous sommes toutes ouïes pour recueillir les témoignages, coups de cœurs et coups de gueule que vous voulez partager au sein de la tribu Vibrations !

Podcast Ondes immersives : la réalité virtuelle

Podcast Ondes immersives : la réalité virtuelle

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[PODCAST]
Un magasin virtuel pour comprendre le consommateur responsable ?

© agence Communicante

Pour ce troisième podcast, nous vous emmenons en immersion… dans la réalité virtuelle.

Quoi ?! Découvrir la réalité virtuelle par l’audio ? Et bien oui. C’est à travers les yeux d’Alice et Victor, étudiants à Audencia Bachelor Nantes, et leurs mots, que vous allez vous ressentir l’expérience de cette nouvelle technologie.

Avec le développement du digital et de la tech, de nouveaux outils sont à la disposition des communicants, marketeurs, et chercheurs, de l’eye tracking à la réalité virtuelle.

Comment écoute-t-on aujourd’hui ?

Comment ces technologies permettent-elles de mieux comprendre les consommateurs, et notamment sur les enjeux de consommation durable ?

Quelles sont les nouvelles possibilités qu’elles ouvrent et quelles sont leurs limites ?

Comment s’intègrent-elles dans les méthodologies de recherche ?

Véronique Spaletta et Manon Caniou de l’agence Communicante sont allées à la rencontre de Cindy Lombart, enseignante en marketing, lors d’un atelier dédié à la réalité virtuelle. Ses étudiants ont testé un dispositif d’analyses des comportements par immersion dans un supermarché virtuel.

Ouvrez grand vos oreilles…

Merci à Joséphine, Alice, Jade, Nour, Quentin et Victor pour leur participation à ce podcast et leurs témoignages.

Et si vous avez aimé, on vous invite à liker et partager pour agrandir la tribu !

Par Véronique Spaletta, agence Communicante

En résonance avec : Christian Clot, explorateur-chercheur

En résonance avec : Christian Clot, explorateur-chercheur

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Christian Clot, explorateur-chercheur : « La clé pour améliorer l’écoute, ce n’est pas la communication mais la confiance »

Christian Clot, explorateur

« Avec nos missions spécifiques comme DeepTime, nous créons un état de changement pour étudier la capacité des populations à évoluer. » Christian Clot

© Christian Clot

Christian Clot, explorateur, chercheur et écrivain, explore notre monde depuis plus de vingt ans, à la rencontre des milieux extrêmes et des humains qui les peuplent. Ces expériences lui permettent de développer une vision pluridisciplinaire unique. Il a créé l’institut de recherche Human Adaptation , avec pour ambition de mieux préparer les femmes et les hommes au monde de demain. Il nous explique comment il travaille sur l’écoute pour accompagner les transitions.

Pourquoi avoir créé le Human Adaptation Institute ? Est-ce pour préparer les humains au changement climatique ?

J’ai créé l’institut pour travailler la fonction même du changement. Je ne l’ai pas créé uniquement à cause du changement climatique car, selon moi, ce n’est pas le seul changement auquel il faut se préparer. Celui-ci fait partie de plusieurs changements systémiques actuels : c’est peut-être l’arbre qui cache la forêt.

Nous travaillons beaucoup sur l’adaptation, la résistance face au changement, puis finalement sur l’humain. Notamment sur tout ce qui permet à un humain de pouvoir accepter de fonctionner dans un mode de vie différent. C’est quelque chose d’intéressant parce que l’humain, au travers de son histoire, a déjà beaucoup évolué et beaucoup changé.

 

Lorsque vous travaillez sur l’écoute et l’observation, quelles méthodes employez-vous pour favoriser une interaction entre les individus et leur environnement ?

Notre seule solution, c’est de se confronter au terrain, aller là où la vie existe. J’ai donc créé mon institut basé sur le principe du réel. Nous sommes considérés comme un institut de recherche-action, on essaye d’aller là où se passent les choses.

Avec nos missions spécifiques comme DeepTime, nous créons un état de changement pour étudier la capacité des populations à évoluer. Avec un avantage énorme : on peut paramétrer les variables que l’on veut faire subir aux gens. Nous décidons de l’échelle du changement que nous voulons opérer, puis on se retrouve dans un laboratoire, mais réel, où l’on peut suivre de manière très précise l’avant, pendant et l’après.

Évidemment, ça présente quand même un inconvénient majeur, c’est que cela n’en reste pas moins des simulations. Les personnes qui participent à l’expérience savent que cet épisode à une fin. Donc il faut aussi aller auprès des populations qui n’ont pas cette perspective, des personnes qui sont en migration et qui voient leur mode de vie se transformer. Nous étudions aussi ces populations directement sur le terrain pour observer leurs capacités d’évolution.

 

Quelle est votre vision du changement ?

Depuis quelques années, en Occident, on a pensé que nous étions arrivés au bout du chemin, que tous les grands problèmes de l’histoire (religieux, nutritionnels, énergétiques) étaient résolus. Finalement, on constate que l’on s’est peut-être trompé, et qu’il faut requestionner le changement. Si j’ai créé cet institut, c’est d’abord pour faire face aux crises. La crise n’est pas le problème ; dans beaucoup de situations, elle est même une solution.

 

Face au changement climatique actuel, pourquoi est-ce si difficile de s’adapter ?

Si aujourd’hui on est inadaptable, ce n’est pas parce qu’on n’est pas capable de changer, c’est simplement qu’on est incapable de rendre commune une vision de coopération du futur. Quelque part ça rejoint bien le domaine de l’écoute. Aujourd’hui, mon attitude est de comprendre comment des groupes humains font face à des changements profonds, systémiques et pérennes.

 

Selon vous, quels sont les principaux enjeux de la transition agricole et alimentaire ?

Le principal enjeu c’est l’accès à l’eau. C’est un vrai paradoxe, en physique-chimie à l’école on nous apprend que rien ne peut disparaître, mais elle sera demain de moins en moins bien répartie. Il doit y avoir une réflexion globale sur notre consommation d’eau, notamment en agriculture, même si je ne suis pas un spécialiste, et je ne veux pas dire aux agriculteurs comment faire leur métier. Au-delà des enjeux complexes qui s’imposent aux agriculteurs, comme la PAC ou les attentes des consommateurs, on doit aussi avoir une réflexion bien plus large : Que veut-on aujourd’hui pour nos terres ? Maintenant on ne va pas demander aux agriculteurs seuls de résoudre ce problème.

 

Comment accompagner cette transition ?

Il faut éduquer, éduquer, éduquer. C’est la base. On ne peut pas avoir un enfant qui ne sait pas d’où vient le lait d’une brique de lait ! Plus on s’oriente vers un monde d’ultra technologie, plus il faut le contrebalancer avec un monde d’ultra nature !

 

Quel rôle doit jouer la communication dans la transition ?

C’est à la fois la base indispensable et le plus grand défi de l’humain aujourd’hui. Si on prend un exemple récent, la Covid, en posant une question simple : qui est le responsable de cette situation ? Pour beaucoup, la réponse était la communication gouvernementale. La communication a été considérée comme le premier problème de la période Covid, qui a conduit à une augmentation du complotisme.

Malheureusement aujourd’hui il est difficile de distinguer une information vraie d’une fausse. Chacun considère la communication au travers de la confiance qu’il accorde à la source émettrice. Et si j’ai perdu confiance dans une source, je ne pourrai plus jamais considérer qu’elle a raison lorsqu’elle s’exprime. En fait, je ne pense pas que la communication soit la clé, je pense plutôt que c’est la confiance. La confiance c’est surtout notre rapport aux autres. Et c’est ce qui permet d’améliorer l’écoute.

Propos recueillis par Charlotte Julien et Victor Guilbert, agence Communicante