Ça bouillonne : L’Inrae s’empare de la recherche participative pour améliorer le bien-être animal

Ça bouillonne : L’Inrae s’empare de la recherche participative pour améliorer le bien-être animal

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« On explore le bien-être animal avec la recherche participative aux côtés des filières et des éco-citoyens »

« La recherche participative est bien adaptée pour traiter des questions socialement vives, comme les pratiques d’élevage », selon Laurence Lamothe, coordinatrice du projet de recherche PANORAMA à l’Inrae.

© Céline Tallet

Et si les chercheurs, les agriculteurs et les citoyens construisaient ensemble la recherche sur les questions polémiques ? C’est ce que tente de faire l’Inrae qui utilise la recherche participative pour faire évoluer les pratiques d’élevage et améliorer le bien-être animal, un enjeu majeur pour la transition agricole. Trois chercheuses, Céline Tallet, Sophie Brajon et Laurence Lamothe, nous expliquent.

L’élevage est souvent critiqué pour ses pratiques jugées peu respectueuses du bien-être animal. Le manque d’accès des animaux à l’extérieur est l’un des sujets les plus décriés, avec seulement 10 % des porcs et 5 % des lapins de chair élevés en France y ayant accès. Face à la demande croissante d’évolution de la part des consommateurs-citoyens, permettre l’accès à l’extérieur pour les animaux est devenu un enjeu majeur. C’est dans ce contexte que le projet PANORAMA a vu le jour. Porté par les chercheurs de l’INRAE, ce projet utilise une méthodologie innovante : la recherche participative. Mais de quoi s’agit-il ? C’est ce que nous expliquent Céline Tallet, Sophie Brajon et Laurence Lamothe, trois chercheuses basées à Rennes et Toulouse et spécialistes du comportement animal ainsi que des relations homme-animal.

 

« Produire des connaissances tous ensemble, c’est évoluer tous ensemble »

La recherche participative englobe une diversité de pratiques impliquant la participation active d’acteurs non académiques dans les projets de recherche. Elle peut se matérialiser par une collecte de données par des citoyens ou une co-construction de la recherche avec les éleveurs, les citoyens et tous les acteurs de la filière. « Dans le projet PANORAMA, nous travaillons en collaboration étroite avec les acteurs de terrain pour co-construire la recherche. Les acteurs participent à la définition des hypothèses, la conception de la méthodologie et l’interprétation des résultats », explique Laurence Lamothe, qui coordonne le projet.

Les chercheuses remarquent que les personnes non académiques prennent également conscience des contraintes liées à la science, comme l’importance du groupe témoin ou la nécessité de moduler une seule variable à la fois.

 

Apporter du sens à la recherche : l’importance de l’écoute et de la communication

Au contact des parties prenantes dont les associations de protection animale, les chercheurs récoltent les savoirs à l’aide d’outils comme les focus groupe, atelier de conception, serious game… « L’analyse critique des scientifiques se confronte à la réalité de terrain des éleveurs, aux perceptions des citoyens et aux intérêts des divers acteurs de la filière. Les postures tendent à évoluer : la connaissance scientifique se crée ensemble », constate Sophie Brajon.

« Cette approche complexe a l’avantage de réunir deux mondes : la recherche et le terrain. Elle permet de créer un lien de confiance en quittant le modèle parfois prescriptif des évolutions scientifiques et des pratiques d’élevage », conclue Céline Tallet.

 

La recherche participative : un moteur potentiel de la transition ?

Quand il s’agit de recherche, la transition signifie d’évoluer vers une destination inconnue. « On ne sait pas où l’on va, mais on sait que l’on veut changer ! », résume Laurence Lamothe.

La recherche participative offre un cadre où l’ensemble des acteurs peuvent aborder des sujets controversés, partager des visions et surtout proposer des solutions adaptatives pour évoluer ensemble. Par leurs travaux, les scientifiques apporteront des solutions plus adaptées répondant aux besoins et aux attentes des différents acteurs de la filière. « La recherche prend alors tout son sens ! », se réjouit la chercheuse.

Tam-Tam : Baromètre Prism

Tam-Tam : Baromètre Prism

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Les agriculteurs passés au scan d’un nouveau Prism

Stravito Vibrations communicantes

Prism est le nouveau baromètre d’écoute des agriculteurs, pour mieux comprendre leurs attentes et besoins spécifiques. Une cartographie nouvelle du monde agricole et de ses composantes.

© Prism

Mieux comprendre les attentes et besoins spécifiques des agriculteurs. Telle est l’ambition de Réussir et Agriconomie à travers Prism : le nouveau baromètre d’écoute des publics agricoles, qui interroge sur leur pluralité.

Inédit ! Le nouveau baromètre nommé Prism scinde les agriculteurs en 5 typologies : les chats, les jaguars, les tortues, les lions et les abeilles. Ces typologies sont issues d’une classification établie à partir de leurs habitudes d’achats, leurs sources d’informations, les leviers agroéconomiques qui guident leurs choix, leur intérêt (ou non !) pour les nouvelles technologies ou encore leur degré de confiance en l’avenir… Une somme de critères qui met pour la première fois en lumière les nuances qui existent lorsque l’on parle « des agriculteurs » en général.
L’objectif de ces comparaisons animales ? Dresser une cartographie nouvelle et segmentée des profils et comportements des producteurs français, pour mieux les conseillers et leur répondre, selon leurs besoins et leurs intérêts spécifiques.

 

Ecouter, ressentir, diffuser

Prism c’est aussi une démarche d’écoute novatrice, basée sur la synergie des savoir-faire entre un média incontournable – le groupe Réussir – et des experts du e-commerce agricole – Agriconomie, appuyés par le cabinet d’études BVA.
Forts de leurs expériences avec les publics agricoles, Réussir et Agriconomie vont plus loin dans leur compréhension à travers cette étude en ligne menée auprès d’un panel représentatif de 1 760 agriculteurs. Les résultats de l’étude ont été dévoilés lors de la dernière édition du Salon International de l’Agriculture.
Prism entend ainsi bien devenir un rendez-vous annuel de référence, qui étudiera l’évolution de la vision des agriculteurs sur leur métier, au regard des changements induits par le sociétal, l’environnemental et le digital.

Une initiative qui démontre comment les régies et médias renouvellent leur façon de comprendre leur audience, et entrent en résonnance avec les agriculteurs pour mieux répondre à leurs attentes et leurs besoins.

Consulter les résultats de l’étude

Tam-Tam :  1ère journée de la Communication Agricole

Tam-Tam :  1ère journée de la Communication Agricole

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La 1ère journée de la Communication Agricole se tiendra le 29 juin !

Stravito Vibrations communicantes

Le Syrpa lance la 1ère journée de la Communication Agricole

© Syrpa

Le Syrpa, réseau des agri-communicants, lance le 29 juin ce nouvel événement destiné à tous les communicants et marketeurs de l’agriculture et de l’alimentation. La promesse : Saisir les dernières tendances et innovations en matière de communication agricole sous forme de table ronde et workshops participatifs et innovants.

« Pour cet événement, nous avons imaginé un nouveau format, made in SYRPA, enrichissant, dynamique, interactif, qui puisse impliquer des acteurs tels que des professionnels de l’événementiel ou du digital, des relations presse ou du marketing d’influence, des titres de la presse professionnelle ou des start-up de services, syndicats professionnels ou multinationales. Le but est de créer des opportunités de rencontre entre professionnels de l’agriculture et de la communication, pour élargir les réseaux, présenter les entreprises et les expertises. » explique Sébastien Evain, président du Syrpa.

Autour de la table ronde sur le thème « Mieux comprendre les grandes transformations de la société pour mieux communiquer sur les sujets agricoles », interviendront :
Thomas Parouty : Fondateur de l’agence MIEUX, Thomas Parouty est un expert en Communication Responsable et en valorisation des stratégies RSE. Son expérience variée lui permettra d’aborder la transformation environnementale avec éclairage et expertise.
Caroline Faillet : Etnologue et directrice générale de l’agence Jin, Caroline Faillet apportera son savoir-faire en analyse de données et en activation des communautés pour une communication digitale efficace.
Basile Faucheux, Président de Agridemain, est un leader visionnaire engagé pour l’agriculture durable et la sécurité alimentaire. Son expertise en développement rural et son plaidoyer en faveur de pratiques respectueuses de l’environnement font de lui une voix influente dans le secteur.
Elle sera animée par Thierry Bailliet – Youtuber/Agriculteur

10 workshops aborderont des thématiques telles que l’Intelligence Artificielle, les nouvelles pratiques digitales, les labels RSE, la communication sur les bilans carbone, l’égalité des genres, le recrutement dans l’agriculture…

Les adhérents du Syrpa sont attendus dès 9h30 pour assister à l’Assemblée Générale qui précèdera.

Le Syrpa se donne pour missions de :

– Prendre part aux évolutions de la communication, liée à l’agriculture, l’environnement et l’alimentation et accompagner les communicants dans l’exercice de leur métier ;

– Analyser les enjeux, produire des contenus et faire des recommandations sur la communication liée à l’agriculture, l’environnement et l’alimentation ;

– Animer la communauté des communicants dans toutes ses composantes en proposant un espace d’échanges et de partage de connaissance.

1ère journée de la Communication Agricole

« Semeurs de changement »

29 juin 2023 – 9h30

À la Fabrique Evènementielle République

Informations et inscriptions 

En résonance avec

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Guillaume Gomez, ancien chef de l’Elysée « Si la gastronomie française était une équipe, sa capitaine serait l’agriculture »

Guillaume Gomez, ancien chef de l’Elysée

Par Victor Guilbert, Sarah Taleb et Caroline Chadal, agence Communicante – © Laurent Blevennec – Présidence

Guillaume Gomez, ancien chef de l’Elysée, a quitté ses fonctions en 2021 pour devenir le Représentant personnel du Président de la République auprès des acteurs et réseaux de la gastronomie et de l’alimentation. Il nous livre son analyse sans détour sur les grandes transitions alimentaires d’aujourd’hui et de demain.

Quel regard portez-vous sur la transition alimentaire depuis 20 ans ?

Mon rôle, en tant qu’ambassadeur de France pour la gastronomie, est d’accompagner cette transition alimentaire. Consommateurs et professionnels la réclament et la plébiscitent pour aller vers une alimentation plus engagée vis-à-vis de la société, la santé et l’environnement. Les chefs sont les premiers prescripteurs de cet accompagnement, ça passera évidemment par l’assiette et les tendances qu’ils pourront lancer en France comme à l’international.
Cela inclut tout l’écosystème alimentaire, de l’amont avec les semenciers, à l’aval avec les unités de méthanisation pour éviter le gaspillage.

 

Comment la transition se traduit-elle dans l’assiette ?

Commençons par nous poser les bonnes questions ! A chaque fois que je vais utiliser un produit, une technique, un mariage, une assiette, je me demande : est-ce que c’est bon pour moi ? Pour le producteur ? Pour l’environnement ? Si la réponse est « non » à une seule de ces questions, c’est que ça ne va pas dans le bon sens…

Il y a 30 ans, on ne parlait pas de saisonnalité ni de provenance, mais heureusement, ça a fini par évoluer. Aujourd’hui on parle circuit court, local, label, même si on a encore des progrès à faire. Tout cela se traduit par une assiette plus réfléchie et une technique qui est non seulement au service du goût mais aussi au service de la santé et de l’environnement.

 

Quel est votre regard sur notre alimentation ?

Il ne suffit pas de dire que nos agriculteurs sont les meilleurs du monde, les actes d’achat doivent suivre. Il y a quelques années, on pouvait dire qu’on ne savait pas. Qu’on ne connaissait pas suffisamment l’impact de nos achats. On achetait des tomates et des fruits hors saison, des produits qui venaient de l’autre bout de la planète sans trop se questionner. C’est comme fumer des clopes avec les gosses à l’arrière des bagnoles : dans les années 70, ça ne dérangeait personne.

Aujourd’hui on sait que ça a un effet ; et bien l’alimentation, c’est pareil. Quel est l’impact quand vous faîtes entrer dans vos assiettes des produits, selon les différents traitements qu’ils ont reçu, ou alors que vous utilisez certains produits interdits dans notre agriculture conventionnelle ? C’est forcément mauvais pour notre santé et on le paie aujourd’hui.
Quant aux importations, le but n’est pas de dire « ne buvons plus de café et ne mangeons plus de chocolat », le but c’est de dire que les importations ne doivent pas représenter 95 % de notre alimentation !

 

Quelles sont les actions que vous avez menées en tant que chef et représentant de la gastronomie française, en faveur de cette transition ?

Elles sont multiples. La première des choses est de convaincre, ensuite de rencontrer les acteurs qui souhaitent accompagner cette transition et de les aider à se mettre en contact. On s’est rendu compte que les acteurs ne se parlaient pas ou peu, alors que c’est collectivement qu’il faut changer le cours des choses. Aujourd’hui, le but n’est pas de discriminer un secteur et dire que c’est la faute de l’agroalimentaire, de la grande distribution, de la restauration collective ; saluons au contraire les engagements de tous pour avancer dans le bon sens.

Nous avons tous une responsabilité, y compris le consommateur final. Quand vous faîtes le choix de tel ou tel produit, cela a un impact sur votre santé, sur la santé de l’autre et sur l’environnement.

 

D’où vous vient cet engagement ?

Quand vous êtes cuisinier, c’est naturel. Forcément, vous êtes engagé quand vous aimez votre métier. Si je ne sais pas faire pousser une carotte ou élever un poulet, je m’intéresse à ceux qui les produisent et il faut les aider. On a un modèle alimentaire qui est l’un des meilleurs, voire le meilleur, mais il faut accompagner celles et ceux qui le font.
Le rôle de la communication est essentiel pour valoriser ces savoir-faire mais aussi pour contrer les fakes news sur l’alimentation. Dire qu’en faisant du muscle cellulaire en laboratoire, on agit en faveur de l’environnement et de la santé, c’est un mensonge !

 

Parmi tous les publics que vous avez rencontrés, quels sont ceux qui vous semblent être les plus réceptifs, les plus sensibles à ces engagements en faveur de la transition ?

Le plus réceptif est aussi le plus fragilisé : le monde agricole. On ne lui rend pas assez la place qui est la sienne dans notre système alimentaire. Il faut soutenir nos agriculteurs parce que nous, « chefs », sans ces produits, on ne peut pas faire notre métier.

Je le dis souvent : si la gastronomie française était une équipe, sa capitaine serait l’agriculture.

 

En 2050, où va-t-on ?

J’espère qu’on aura réussi à mettre en place les grands chantiers vers cette transition agroécologique et agroalimentaire. La France a un devoir, c’est d’être le chef de file. Nous devons convaincre nos partenaires européens et le reste du monde d’aller vers cette transition agroécologique nécessaire. Pour mémoire, 50 % de ce qui est produit sur Terre n’est pas consommé, ce sont les chiffres de la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture) ! Remettons du bon sens dans nos actes d’achat et posons-nous les bonnes questions !

Propos recueillis par Victor Guilbert, Sarah Taleb et Caroline Chadal, agence Communicante

On frissonne pour : Food for Change

On frissonne pour : Food for Change

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« Food for Change » : l’agriculture régénérative entre dans les cuisines des Relais & Châteaux

Les chefs des Relais & Chateaux cultivent et cuisinent des produits issus de pratiques plus vertueuses pour l’environnement.

Par Sarah Taleb – © Pexels / Ella Olsson

Pour la sixième année consécutive, Relais & Châteaux et Slow Food s’associent et soutiennent l’agriculture régénérative pour restaurer les écosystèmes et lutter contre le changement climatique. Une démarche engagée doublée d’une communication réussie.

A travers la campagne annuelle « Food for change », Relais & Châteaux encourage les pratiques d’agriculture régénérative auprès de ses 580 hôtels et restaurants indépendants. L’objectif : proposer des solutions allant des actes quotidiens jusqu’au soutien de projets visant à renforcer les économies locales durables et les productions de notre patrimoine, mais aussi les filières équitables à l’international.

Grâce à “Food for Change”, Relais & Châteaux et Slow Food s’engagent à réduire leur impact sur l’environnement en cuisinant de manière durable. Et ils comptent bien inspirer d’autres acteurs dans cette voie. De plus, les chefs des restaurants Relais & Châteaux – dont certains cultivent leurs produits au sein de leur domaine – et leurs partenaires producteurs, s’engagent à respecter un modèle d’agriculture régénérative.

 

Les chefs, gardiens de la biodiversité

Olivier Roellinger, Vice-Président de Relais & Châteaux explique : « Les chefs Relais & Châteaux sont les gardiens de la biodiversité, agissant en tant que défenseurs de la beauté de la nature, ce qui crée à son tour la résilience de notre système alimentaire. Donner la priorité à la santé des sols entraîne une réduction du carbone et une amélioration des cycles de l’eau. C’est la régénération et c’est l’avenir de la gastronomie ! »

 

L’agriculture régénérative expliquée au grand public

Pour garantir ce succès, Relais & Châteaux a consacré une page sur son site internet : « #REGENERACTION POUR FOOD FOR CHANGE ». Ici, ça bouillonne de vidéos : des chefs expliquent comment ils cultivent et cuisinent des produits issus de l’agriculture régénérative.

Nous avons vibré pour cette démarche particulièrement bien maîtrisée grâce à de très beaux témoignages et idées savoureuses de chefs engagés. Une communication réussie puisque l’on a pu voir un article titré « L’agriculture régénérative, l’avenir de la gastronomie ? » sur le site du magazine de mode L’Officiel. Et plusieurs articles sont parus dans des titres tels que Les Echos, Le Point et même Vogue ! Le pari est réussi : cette campagne de communication a permis d’expliquer un concept agronomique dans des médias grand public voire même tendances !

Tam-Tam : Communicante au Salon International de l’Agriculture

Tam-Tam : Communicante au Salon International de l’Agriculture

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L’agence Communicante au rythme du Salon International de l’Agriculture : on s’y retrouve ?

L’agence Communicante accompagne les acteurs du monde agricole sur le Salon International de l’Agriculture depuis près de 10 ans.

© agence Communicante

Du 25 février au 5 mars, l’équipe Communicante sera présente au Salon International de l’Agriculture à Paris. Un rendez-vous immanquable pour porter haut et fort les messages et projets de communication de nos clients, engagés dans la transition agricole et alimentaire.

Rendez-vous inconditionnel du secteur agricole, cette 58e édition du Salon International de l’Agriculture placera « le vivant » au cœur des thématiques !

Cette année, nous accompagnons dans leurs relations presse La Ferme Digitale, MiiMOSA et A.D.I.VALOR, acteurs clés de la transition agricole et alimentaire. Au menu des discussions : innovation, financement participatif et économie circulaire. Ça va résonner dans les médias !

Et pour donner un coup de pouce à ceux qui innovent et conçoivent déjà les solutions de l’agriculture de demain, l’agence est partenaire du concours AGREEN START’UP, porté par les Chambres d’Agriculture depuis 2014.
À la clé notamment avec l’agence Communicante : une journée de conseil en communication et un diagnostic « Forces et fragilités du chef d’entreprise ». De quoi faire grandir quelques belles pépites !

Relations presse, opérations de communication spécifiques : l’agence Communicante est en terrain connu au SIA !

 

Que vous soyez agrofournisseur, start-up, coopérative, organisation professionnelle ou producteur, n’hésitez pas à nous contacter dès maintenant pour nous retrouver sur place ! Nous serions ravis de discuter de vos ambitions et projets de communication et de vous présenter notre équipe.

D’ici là, vous pouvez d’ores-et-déjà découvrir nos différentes expertises !